Si vous n'aimez pas trop, vous non plus, les témoignages affreux de la Seconde Guerre Mondiale, vous pourrez quand même, avec aisance et sans aucun problème, vous jeter (oui, vous jeter, littéralement) dans le récit de Jakob Bronsky, un jeune homme déjà trop vieux au verbiage crasseux, monosyllabique, teint de mauvaise volonté, d'un sérieux manque sexuel et d'un humour propre aux vagabonds aigris. Au final, c'est plus la vie d'un homme fauché à New-York qu'un souvenir de guerre, et c'est un petit bijou d'humour noir.
(voir la critique intégrale sur le blog)
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