À lire avant
Nuit...
Les aventures de Max Schulz sont tout à fait jubilatoires à suivre, mais
Nuit était tellement exceptionnel et marquant que je me demande s'il n'anesthésie pas de l'irrévérence d'
Hilsenrath, qui est toujours très présente dans
le Nazi et le Barbier, mais parait ici plus artificielle et saisit moins que dans
Nuit.
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