L'Assassin royal, tome 13 : Adieux et retrouvailles

Dans ce tome, tout se décante.

La mort de Burrich. Prilkop est une super découverte. Les retrouvailles avec Patience, wow ! Les adieux du Fou m'ont brisé le coeur. Les retrouvailles avec Molly.

Les choses se tassent et on a une vision de ce qu'il advient de chaque personnage une fois que tout le monde est rentré et que tout redevient calme.

Je salue encore une fois le talent de Hobb mais aussi la traduction française géniale de Mousnier-Lompré !

En 2023 j'ai fini la deuxième époque de l'Assassin royal. C'est la fin d'un cycle, la fin d'une épopée riche à tout point de vue.
Mon coeur a palpité pour Fitz et ses compagnons d'aventure, il s'est serré et s'est brisé à de nombreuses reprises.
Robin Hobb surprend à chaque tome, elle nous immerge dans un monde imaginaire où l'homme et la nature sont complémentaires. de belles valeurs se dégagent de ses écrits qui fait la part belle à la bravoure, le sacrifice, l'harmonie. Il y a énormément de réflexion sur l'homme et la nature, son rapport à autrui, aux animaux. Faire la découverte d'Oeil de nuit à été une expérience de lecture très forte durant cette saga.
La réflexion sur le mariage, l'attachement aux choses, le fait de vieillir.
Il y a tellement de choses à dire car on évolue avec Fitz tout au long de sa vie et on vit les épreuves avec lui. Les destins se croisent et s'entremêlent, on a l'impression de connaître l'univers et les personnages mais l'autrice nous réserve toujours de l'inattendu.

La narration est toujours poussée à la limite de l'onirique. L'écriture est impeccable et immersive.
J'ai hâte de continuer à lire Robin Hobb.

Une série de fantasy incontournable écrite par une femme talentueuse.

Ce tome 13, qui clôture la deuxième époque de la série l'Assassin Royal qui m'accompagne depuis plusieurs mois maintenant, est particulièrement chargé en émotion.
En effet comme son titre "Adieux et retrouvailles" l'indique, plusieurs intrigues vont y trouver un point final. Contrairement aux tomes précédents, on ne retrouve ici que peu d'action, même si le destin de plusieurs personnages clés est bouleversé. C'est donc émue que j'ai lu certains passages. Quelques éléments restent toutefois en suspens, laissant ainsi une porte ouverte pour la suite.
Cette deuxième époque est donc pour moi un sans faute, j'ai vraiment pris plaisir à découvrir les intrigues proposées et suis déjà pressée de poursuivre l'oeuvre de Robin Hobb pour continuer à en explorer toutes les richesses !

Avec ce treizième tome se termine l'épopée de Fitzchevalerie, fils illégitime de l'héritier du trône de Castelcerf, royaume des six duchés.

Cette geste a démarré dans une civilisation proche de la nôtre au Moyen-Âge avec ses seigneurs, ses ménestrels, ses bouffons, ses bourgeois et ses pauvres ; avec son sacré, ses interdits, ses obligations ; avec ses mages, ses sorcières et ses dragons ; et surtout avec un mode de communication par télépathie entre humains ou humains et animaux dont tous ne sont pas dotés.

Il n'y aurait, bien sûr, rien à raconter s'il n'y avait d'attaques de pirates, d'amours contrariées, de jalousies, de rivalités, de traitrises, d'expéditions à la recherche de solutions aux calamités qu'a subi le royaume.

Ces pérégrinations nous font découvrir de nouveaux personnages et d'autres civilisations, notamment le royaume du Nord inspiré à la fois du Moyen-Âge des pays nordiques où les femmes étaient formées à combattre, mais aussi d'une culture idéale où la nature serait préservée, où les gouvernants seraient vraiment au service du peuple et où l'on userait de tout, y compris des fumigations de plantes sédatives, avec modération.

Elles nous font également pénétrer une culture gynocratique de lignée matrilinéaire dont il n'en subsiste que très peu à notre époque, notamment en Asie et au Mexique. Dans cette société nul ne quitte sa famille d'origine, celle tracée par la succession des mères. Les amants viennent visiter leur amoureuse quand elle le leur permet et les enfants nés de ces "mariages ambulants" aucunement officialisés ont leurs oncles comme image masculine alors que les pères biologiques élèvent les enfants de leurs soeurs.

C'est dans ce contexte ethnologique intéressant que nous assistons aux aventures fantastiques des héros de l'épopée que je vous laisse découvrir (de préférence en commençant par le tome 1) si le coeur vous en dit.

Ce tome 13 terminé de facto marque la fin de ma lecture du 2e cycle de l'Assassin Royal et la fin de 3 merveilleuse année de lecture de ces 2 cycles.

Je n'ai jamais autant ressenti et vécu un livre de fantasy aussi intensément que la vie de Fitzchevalerie Loinvoyant. Ses premières années de vie ses amitiés et animosités ses amours et trahison son devoir et ses pertes son retour et sa vengeance ses coups d'éclat et dénouement ses adieux et retrouvailles 🥲.

ces 3 années de lecture a littéralement vivre cette oeuvre la place indubitablement à ce jour comme la meilleure oeuvre de fantaisie que j'ai pu lire. Merci à madame Hobb pour ces trois années de lecture.

Treizième tome de l'assassin royal et quel ne fut pas les aventures de fitz dans ce dernier tome qui se finit bien pour lui et qui retrouve une partie de la place qu'il n'aurait jamais dû perdre sans les secrets des loinvoyants. Tout se finit bien aussi pour devoir. Un tome riche en rebondissements. Vivement la suite avec le fou

Après plusieurs mois à naviguer dans cette univers je referme le dernier tome de la série ( même si le Fou et l'assassin attend derrière).
Sans m'étaler sur la globalité des tomes que j'ai tous adorer et dévorer malgré des mise en place qui peuvent paraître longue,
Ce dernier me laisse " perplexe" j'ai trouver le début du tome très fort, très riche en émotions et en comparaisons la fin me semble plate
Fitz à finalement ce qu'ils voulais mais tout me semble arriver trop facilement...et en même temps une part de moi et heureuse pour ce personnage !
J'aurais aimer voir un peu plus du Fou sur la fin et en même temps, malgré que ce soit le personnage que j'ai le plus chérie de cette saga j'aurais trouver étrange de le suivre "seul".

Enfin bref une saga incroyable, qui m'a transporter et la 1er ou une part de moi pense déjà au jour où je me replongerais dedant !

Après ce tome je ne sais pas à quoi m'attendre pour "Le fou et l'assassin" mais j'ai déjà hâte de retrouver cette univers !

49/100 Robin Hobb, « L'assassin royal » Tome 13 : « Adieux et retrouvailles » 378 pages
Immense coup de coeur pour ce 13ème tome, qui achève le second cycle des aventures de Fitz Chevalerie. Je l'ai déjà dit : jamais encore, je n'avais eu l'impression de connaître à ce point des personnages ! D'avoir l'impression de vivre à leurs côtés ! C'est non seulement du au talent de Robin Hobb, mais aussi au fait que j'écoute la saga sur audible lue par Sylvain Agaësse !
Je les entends parler, et j'ai l'impression d'être avec eux. Quel bonheur de retrouver le Fou ! Que d'inquiétudes encore pour lui !
Quel bonheur de voir enfin un peu de bonheur revenir dans l'existence de Fitz !
Ce tome est vraiment épatant !
Résumé éditeur : « Alors que les navires emportent au loin le prince Devoir et la Narcheska Elliania désormais libres de se marier, un homme seul se dresse sur les rivages de l'île d'Aslevjal. Fitz Chevalerie, s'il a fini par se résoudre à la mort du fou, ne peut supporter de laisser la dépouille de son ami ensevelie sous les décombres du château de glace. Il se lance alors dans l'exploration désespérée des ruines souillées à tout jamais par les maléfices de la femme pâle. Son périple le mènera bien plus loin qu'il n'aurait pu l'imaginer : des contrées de la mort aux rivages secrets de l'art, Fitz trouvera peut-être les réponses à toutes ses questions... Ou des raisons de croire qu'il se trompe depuis le début. »

Dernier tome de cette série que je suis triste d'avoir fini ! Mais j'ai la ferme intention de poursuivre avec celle du Fou et de l'Assassin, si je ne fais pas erreur !

Je ne peux pas dire que j'ai fini en beauté, j'ai vraiment perdu patience avec le dernier entretien de Fitz et du Fou qui a tourné au pathos et où ils ont geint longuement, je n'ai pas trouvé d'intérêt à tout ça.

La suite a un peu relevé le niveau mais j'ai trouvé qu'il y a eu quelques raccourcis et que tout se terminait trop bien, trop proprement et d'une façon très gentillette, après 12 tomes de catastrophes et de souffrances diverses.

Mais ça ne gâche en rien le plaisir que j'ai eu à écouter les tomes précédents.

La fin d'une épopée, qui m'aura tenue en haleine pendant plus d'une année. Les derniers chapitres étaient durs, car je savais qu'il signait la fin de la saga. Transcendant est encore un mot faible pour décrire ce que j'ai pu ressentir sur cette aventure.
Fitz, enfin, a le droit à sa part de bonheur.
L'aventure, la vie du Fou me laisse brisée, presque autant que m'a éprouvée la disparition celle d'Oeil de Nuit.
L'autrice m'a transportée dans un autre monde, cachée dans mes rêves et mon imagination.
Merci, un millier de fois. "Je n'ai jamais été raisonnable".
Je ne pense pas pouvoir retrouver un jour le sentiment profond que j'ai éprouvé en lisant cette saga, ce sentiment de plénitude, d'entièreté, comme si mon apprentissage de la lecture, ma vie entière à lire et peaufiner mes goûts n'avaient servis qu'à lire ce chef d'oeuvre.
Comme Fitz, je ressens que ma vie s'enroulait autour de la découverte de cette saga, et je me sens vide de ne plus jamais pouvoir la découvrir à nouveau.
Jamais je ne pourrais la conseiller, car il est trop dur de se forcer à ne pas la relire encore, et encore...