L'Assassin royal, tome 4 : Le Poison de la vengeance

Ce tome 4 m'a laissé sur ma faim. J'ai moins aimé cette partie de l'histoire...
Ici, on suit quasiment uniquement Fitz. Revenu de la mort grâce à son Vif, il s'est perdu... Plus loup qu'humain, il est aidé par Burrich et Umbre mais décide très tôt de s'en sortir seul avec Oeil de Nuit, puis complèrement seul... Il a tout perdu, son chez-lui, ses proches, son amour... Il doit se trouver lui même.
Ce tome est plus sombre que les précédents, l'espoir n'est pas au rendez-vous. Ici, point de communauté, point d'entraide, point d'encouragement...
Je me lancerai quand même dans le tome 5 !!

Mon intérêt est toujours maintenu pour cette série fantastique si situant au coeur du Moyen Âge, même si ce tome m'a un peu moins plu que les précédents. J'aime encore autant les complots, les mystères entourant la relation de Fitz avec les animaux et l'histoire d'amour du personnage principal.

Un tome un très moue. Il ne s'y passe pas grand chose. Ont n'y apprend pas grand chose non plus. Très lent. Ont retrouve le Fitz qui râle tout le temps et qui ne sait pas ce qu'il veut vraiment. Ont a connu mieux chez Robin Hobb. Je vais attendre un peu avant de lire la suite.

La série suit son cours et il est toujours intéressant de retrouver Fitz dans ces oeuvres. Ce livre dénote quelque peu des 3 précédents. En effet, moins tourné vers l'action, il se penche nettement sur Fitz et sa personnalité, vers le conflit intérieur qui s'empare de ce jeune garçon à l'heure ou il doit faire des choix important dans sa vie.

Si la lecture est plus "longue" que les trois précédents elle n'en reste pas moins agréable et donne toujours envie de se lancer dans le suivant !

Volume 4 des nouvelles aventures de Fitzchevalerie "Le poison de la vengeance" se révèle moins intéressant que les 3 précédents volumes. Fitz nouvelle version doit se remettre, en quelque sorte en état, avant de s' occuper de la mise en place de sa vengeance.
Beaucoup moins de personnages secondaires viennent agrémenter cet opus 4. On est toujours concentré sur Fitz et son épopée pour se venger de Royal. Cette dernière souffre d' une grande platitude et d' une trop grande linéarité. Beaucoup de descriptions, au cours de son périple pour retrouver Royal, rendent cette histoire assez monotone.
Peu d' actions et beaucoup d' interrogations jalonnent "Le poison de la vengeance". En fait, à l' arrivée on aura guère avancé par rapport à l' ensemble de l' oeuvre.
La fin tombe un peu comme "un cheveux sur la soupe" et demeure globalement décevante.
Le point positif : on en sait un peu plus sur l' Art et le Vif. L' autrice nous dévoile de nouvelles perspectives concernant ses deux aspects. Elle ouvre le champ des possibles avec une grande intelligence .
Volume 4 qui aurait pu être plus condensé afin d' être plus prenant.....Mais cette saga, aux coeurs des Six-Duchés , conserve tout de même son aura magique avec l'imaginaire au pouvoir.

La dévotion de Burrick me laisse pantois ,c'est une de ces personnes toujours présente dans vos vies et que vous savez digne de confiance. le début de ce tome est à la hauteur de toute l'ignominie que laissait présager la fin du tome 3 et nous laisse un Fitz plus perdu que jamais .Du moins au début car très vite il est teinté d'une rage féroce et d'une envie de vengeance acide qui lui brûle le corps. Voilà le fil conducteur de ce nouveau tome qui nous ballotte de région en région ,dire que Fitz regrettait de ne pouvoir voyager à ces débuts ,il est largement servi. Sa quête qui l'amène dans un jeu du chat et de la souris avec son nouvel ennemi est particulièrement intéressante à suivre. La subtile présence de vérité dans ces moments-là prend une nouvelle dimension et me rappelle à quel point j'apprécie ce personnage.Malgré toutes ses épreuves Fitz a toujours des réactions puériles parfois surtout quand cela concerne Molly,mais le fait qu'il soit impulsif émotionnellement parlant l'humanise tellement que cela ne le rend que plus attachant pour moi.Mais je persiste à me dire que ce personnage féminin n'était vraiment pas nécessaire d'autant que je sens venir une intrigue assez désagréable avec elle et Fitz. J'espère me tromper car notre héros n'a nul besoin d'un nouveau fardeau à porter ,son existence en est déjà bien assez chargé.En tout cas avec la tournure que prend la fin de ce tome,on sent que l'on se rapproche de l'ensemble des mystères qui se cachent derrière le voyage de Vérité pour mon plus grand bonheur car ce tome manque globalement de saveur malgré des points positifs.

Alors que les 3 premiers tomes m'ont passionnée, j'ai trouvé celui ci un peu poussif... Beaucoup de réflexion et d'introspection de la part de Fitz qui ralentisse un peu le rythme de l'histoire. On le découvre tourmenté, râleur et insatisfait de tout. C'est un chien fou qui ne fait pas toujours les bons choix, on a envie de le réprimander à chaque page et de lui dire "tu l'as un peu cherché mon vieux!". Ça le rend agaçant et paradoxalement on s'y attache encore plus! Tout le talent de Robin Hobb est là.
La fin du tome reprend de la vigueur et laisse présager un 5e opus tout en action et dynamique.

Ah... Fitz et sa vie désastreusement épique !

☆ Je ne vais pas pouvoir tant en dire que cela de peur de vous spoiler les tomes précédents.

Mon appréciation de cette saga est en dents de scie, le premier tome fut un coup de coeur, tout comme le tome 3 que je n'avais pas réussi à lâcher durant des heures. Nous passerons outre le tome 2 qui est, selon moi, une traversée du désert.

Mais pour revenir sur ce tome je l'ai beaucoup aimé. Ce n'est pas un coup de coeur mais j'ai que de bons moments de lectures en tête.

J'ai adoré retrouver Burrich, Umbre, Royal, Molly et tous les autres.
Nous en apprenons plus sur l'Art et le Vif mais aussi sur ce qu'il est advenu de chacun de nos personnages après l'Évènement ayant eu lieu à la fin du troisième opus.
Petit bonus sympa on en connait aussi d'avantage sur la vie de Burrich et ça c'était vraiment cool !

La plume est toujours aussi addictive et les émotions sont toujours décrites avec talents. C'est ce qui me fait tant aimer cette saga malgré ses petits défauts.
J'ai eu le sentiment de voir ce tome comme un parcours initiatique, le renouveau que l'on attendait tous.
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Fitz s'est relevé, loup d'abord et homme ensuite. Il ne veut pas rester à rien faire, à refaire sa vie dans les ténèbres, non. Il veut se relever contre Royal, l'usurpateur qui a tenté de le tuer à maintes reprises. Ce que je regrette un peu, dans ce tome, c'est le fait qu'il fasse tout le chemin pour aller tuer Royal juste pour recevoir un ordre de Vérité de venir le rejoindre haut dans les Montagnes… C'est un peu faire des voyages pour rien, mais bon.

Un opus au rythme plus lent, où Fitz va en apprendre beaucoup sur lui-même et sur son étrange pouvoir, et où va apparaître un des personnages clef de la fin de l'histoire.
Si on se laisse beaucoup moins emporter, on continue à suivre avec plaisir les aventures du Bâtard du roi devenu son assassin.


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