Citations sur Le Fou et l'Assassin, tome 3 : En quête de vengeance (25)
- Laissez-le manger en premier, déclara Devoir comme s'il parlait d'un chien mal dressé ou peut-être d'un tout petit enfant. Il partage sa faim avec tout le château."
Parodie de la fête de l'Hiver, la réunion était un bal de chagrin e d'horreur, un banquet de tisane amère et de larmes
Aussi, n'appelons plus l'enfant pâle "shaysa", celui-qui-est-l'unique, ainsi que nous le désignions dans notre langue très ancienne, mais "shaysim", celui-qui-peut-être-l'Unique
Eviter toute difficulté à un enfant, ce n'est pas la même chose que l'élever.
Il n'existe pas de chemin qui mène au lendemain, Fitz ; le chemin, c'est le présent ; il n'y a que ça et il y aura jamais que ça. Tu peux agir peut-être sur les dix prochaines respirations, mais ensuite le hasard te saisit dans sa gueule : un arbre te tombe dessus, une araignée te mord la cheville, et toutes tes belles stratégies pour gagner une bataille s'écroulent. Nous n'avons que le présent, Fitz, et c'est dans le présent que nous agissons pour rester en vie.
Reconnaissons qu'il existe d'innombrables avenirs, qu'à d'innombrables croisées des chemins l'avenir devient le passé, et que d'innombrables possibilités s'éteignent tandis que d'autres, tout aussi innombrables, naissent.
Songe à ce qui est et ne te laisse pas distraire par ce qui aurait pu être.
Vous paraît-il juste que notre naissance détermine la façon dont on nous considère pour le reste de notre vie ?
Parfois, remercier quelqu'un est plus important pour la personne qui témoigne sa reconnaissance que pour celle qui la reçoit.
Ne dispensez les secrets que vous avez accumulés qu'avec frugalité : beaucoup perdent tout pouvoir une fois révélés. Soyez encore plus prudents avec vos propres secrets, de crainte de devenir un pantin dont quelqu'un d'autre tire les ficelles.