Tout d'abord, je souhaiterais remercier une amie qui m'a offert le premier tome de cette saga, dédicacé de
Robin Hobb, sans quoi je n'aurais sans doute pas lu cette saga de sitôt.
Cette saga est un joli clin d'oeil à la route Transamazonienne, longue de 4223 km, qui relie les régions reculées du Brésil et du Pérou à l'Atlantique. Projeté dans les années 1970, l'objectif était de donner aux paysans pauvres du Sud et du nord-est du Brésil des bandes de terre de 50 km de chaque côté de la route. Véritable désastre écologique, avec d'une déforestation exponentielle et sociale avec le déplacement des peuples indigènes et des tribus semi-nomades. Rajouté un peu de ruée vers l'or et voici tous les ingrédients pour que
Robin Hobb nous réalise une saga aux petits oignons.
Dans ce dernier tome, on redescend vraiment d'un cran, on est plus dans le bilan de tous les intervenants et de leur futur. Personne ne sera oubliée.
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