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Critiques filtrées sur 5 étoiles  
J'ai lu les trois premiers tomes de cette série au mois de février 2017. Avec ma pauvre mémoire qui ressemble à celle d'un poisson rouge, j'ai alors replongé dans mes notes de l'époque et celles de certains membres pour me remettre l'histoire dans le collimateur.
Et je tiens en premier lieu à exprimer ma solidarité auprès de Sandrine / Lyoko pour le coup de gueule qu'elle dénonce dans son billet au sujet de cette série. Allez la lire je n'ai rien à ajouter de plus.
J'ai donc commencé ma lecture un peu, voire beaucoup, agacé. Mais assez vite je me suis retrouvé à lire à un rythme de plus en plus rapide, plongeant des deux pieds dans l'histoire. Tel le serpent dans le livre de la jungle, Robin Hoob m'hypnotise littéralement.
FitzChevalerie et le Fou ont bien vieilli, Fitz doit des obligations à la cour et le Fou est aveugle. le Fou a beau essayé de convaincre son ami de se lancer à la poursuite des ravisseurs d'Abeille, rien y fait. Fitz pense sa fille disparu à jamais. C'est en faisant du rangement dans sa cachette secrète qu'il va retrouver l'espoir et se lancer à travers les Piliers d'Art sur les traces de celle-ci.
Un univers dont la richesse des descriptions des personnages, des paysages nous entraînent au-delà du réel, le temps n'existe plus et le bonheur de lire est total, pourtant l'histoire se résume en quelques mots, malgré cela l'auteur nous tient en haleine durant près de 600 pages.
Le seul regret que j'évoquerai c'est le manque d'information du côté d'Abeille. Sur la première partie un chapitre sur deux y est consacré puis à partir de la moitié du bouquin quasiment plus rien.
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Une deuxième partie plus intéressante, beaucoup plus dans l'action. Mais en même temps j'en attendais un peu plus. Je trouve que par rapport au premier tome (tome 1 et 2 en édition française) il y a moins de surprises et de suspens. Mais on sent que ça va venir ! En attendant j'étais contente de voir la petite équipée en route. Et j'aime beaucoup recroiser des personnages de la cité des anciens ! Lant et Persévérance sont vraiment bornés, c'est peu dire et j'ai hâte de les voir dans les derniers tomes. J'espère changer d'avis sur Lant parce que jusqu'ici, mes sentiments sur les personnages, depuis l'assassin royal, restent les mêmes. Je prends toujours autant de plaisir à ma lecture mais je vais tout de même faire une mini pause avant d'attaquer la fin, histoire de faire durer le plaisir !
Challenge Mauvais genres 2022
Challenge auteure sfff 2022
Challenge Les aventuriers du rail
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Un quatrième tome vraiment jouissif, avec pas mal de rebondissements !

Fitz est dans une colère noire depuis l'enlèvement de sa fille, la vengeance devient son moteur. Malheureusement, le prince FitzChevalerie se doit de ne pas nuire à la réputation de la famille Loinvoyant. Eh oui, la reconnaissance ne s'accompagne pas que d'avantages ! Il n'est plus censé agir sur des coups de tête, comme auparavant. de plus, toutes ces années passées avec Molly, sans batailles et combats, l'ont un peu rouillé. Son corps a perdu ses réflexes de guerrier. Enfin, il faut aussi compter sur l'entêtement de certains de ses proches, de véritables boulets !

Comme souvent avec Robin Hobb, je n'ai absolument rien à reprocher à ce roman. Je suis toujours aussi attachée aux différents personnages (même Fitz, malgré qu'il ait toujours les mêmes défauts : impulsivité et naïveté), toujours aussi passionnée par l'histoire, toujours aussi charmée par la plume de l'auteure.

Dans "Le retour de l'assassin", il y a de nombreuses allusions à d'autres séries de Robin Hobb, comme "Les aventuriers de la mer" et "Les Cités des Anciens". Je ne peux que vous conseiller de les lire (en plus, elles sont tout aussi réussies que "L'assassin royal"). Ainsi, vous profiterez encore mieux de ce roman (surtout lorsqu'il sera question de Kelsingra). L'auteure maîtrise parfaitement le riche univers qu'elle a créé, quel plaisir pour les fans !

Comme ce tome se termine sur un cliffhanger, me voilà complètement désemparée... L'attente va être douloureuse !
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Ce quatrième tome du cycle le Fou et l'Assassin tient toutes ses promesses. La lenteur dans le déroulé des événements est fréquemment reprochée à Robin Hobb; cela n'est pas le cas pour le Retour de l'Assassin, équilibré entre l'action et le ressenti intimiste des personnages.
Comme pour beaucoup de lecteurs, les protagonistes sont devenus des compagnons que je retrouve avec beaucoup de plaisir. Les nouveaux personnages de ce cycle prennent maintenant toute leur place, ils énervent ou plaisent tour à tour, toujours décrits avec beaucoup de finesse. Et, plaisir supplémentaire,
Si ce quatrième épisode se termine sur un cliffhanger, il ne laisse pas pour autant un goût d'inachevé. Il donne juste l'envie d'attendre avec gourmandise la parution de la suite, confirmant tout l'intérêt de ce nouveau cycle et l'inscrivant dans la droite lignée des cycles du Royaume des Anciens.

En postface à ces quelques lignes, il me faut signaler ceci : j'ai eu il y a quelques temps des velléités de désencombrement qui se sont traduites par une inscription en bibliothèque municipale, afin de limiter mes achats de livres. C'est donc en toute innocence que j'ai emprunté un petit livre de poche, sobrement intitulé L'Apprenti Assassin. Mauvais plan: la dynamique de désencombrement volontaire a tourné court. Les ouvrages de Robin Hobb occupent maintenant deux étagères complètes de ma bibliothèque personnelle... puisqu'il m'a fallu acquérir les versions originales suivies de leurs excellentes traductions au fil des parutions. Vous l'aurez compris, il s'agit donc ici d'une critique d'une inconditionnelle des sagas du Royaume des Anciens.
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On retrouve Fitz tel qu'on l'a aimé, ou pas, dans l'assassin royal. Avec ses défauts, impulsif, prenant souvent des décisions sans réfléchir pour au final avoir toujours un train de retard.

Dans ce tome tout s'accélère, il part enfin à la recherche d'Abeille. Faisant tout pour partir seul, finalement se retrouve vite à cinq et plus rien ne se passe normalement.
On retrouve le Fou dans ses meilleurs moments à l'inverse d'Umbre qui disparaît de plus en plus.

On espère que la suite sera aussi palpitante.
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A la poursuite de sa fille Abeille, c'est dans ce tome que nous retrouvons Fitz le solitaire, l'assassin, le vengeur. Mais ce n'est plus le jeune homme exalté du premier cycle. La maturité n'a fait que renforcer ses tourments, ses blessures et ses pertes. Et sa nouvelle notoriété en tant que Prince FitzChevalerie Loinvoyant lui apporte autant de facilités que de contraintes. Malgré les circonstances souvent tragiques, nous prenons toujours autant plaisir à retrouver les personnages mythiques de la série : le Fou, Umbre, et tout le cercle royal et familial de Fitz. Et pour continuer dans cette touche “All Stars”, voici que nous croisons lieux et personnages du cycle des Cités des Anciens.
J'ai aussi beaucoup apprécié la poursuite de l'apprentissage de l'Art par ses expériences toujours mystérieuses, entre voyages à travers les piliers Anciens et guérisons miraculeuses.

Je renouvelle cependant mes réserves sur le découpage choisi par les éditeurs français (même si la lecture en format poche permet d'en atténuer l'effet financier…), ainsi que sur les coquilles plutôt nombreuses qui écorchent la lecture.
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Génial. Tout bonnement génial. Elle est douée. Elle est vraiment douée la Robin Hobb.

Elle réussir avec brio à te tenir en haleine pendant toute la partie de chasse de Fitz parti sur les traces des "marcheurs blancs" et Chalcédiens qui ont kidnappé Abeille.

Les chapitres sont longs, dense en informations, mais on s'accroche.

Fitz se venge mais pas assez à son goût. Il traverse les pierres toujours à la recherche de sa précieuse fille, morte semble t'il. le mystère plane !

Le fou, Lant et Persévérance se joignent à la partie de chasse à travers les pierres contre son gré. Ils se rendent à la cité dans Anciens...

Quelle joie ! Je n'ai pu m'empêcher de couiner comme une ado devant son drama coréen. Tout se recoupe, j'adore quand elle fait cela ! Terrilville, Kelsingra, les dragons, Malta, Reyn, et d'autres surprises.

Incroyable.
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Une fois n'est pas coutume, le retour de l'assassin est un roman qui porte bien son titre français… Il s'agit de la seconde partie du second tome de la saga le Fou et l'Assassin de Robin Hobb, et il marque le retour de notre assassin préféré qui semble se retrouver lui-même. Après des années à se laisser aller en tant que seigneur de campagne au domaine de Flétribois, il aura fallu l'enlèvement de sa fille Abeille pour le réveiller et le ramener en partie à ce qu'il était. Et quel plaisir c'est de le retrouver enfin !

Vous qui lisez la suite, laissez tomber ici tout espoir d'objectivité ! Quand il s'agit de Robin Hobb, et en particulier des aventures de Fitz et du Fou, je n'en ai aucune. Mes chroniques oscillent invariablement entre le coup de coeur et le j'ai adoré ! Aucune chance que cela change aujourd'hui : j'ai adoré !

On retrouve donc Fitz égal à lui-même, c'est-à-dire hanté par la culpabilité de n'avoir su protéger ni sa fille ni Demoiselle Evite, que lui avait confiée Umbre, ni même son ami le Fou. Désormais Prince au grand jour à Castelcerf, il est aux prises avec un terrible cas de conscience : obéir à son Roi au nom des intérêts du royaume, ou foncer tête baissée en quête de sa fille et de vengeance par les piliers d'Art. S'il a toujours l'apparence d'un homme de quarante ans, l'âge et le manque d'entraînement pèsent cependant sur lui, et toute la première partie est consacrée à sa valse-hésitation. Cela ne signifie pas qu'on s'y ennuie, attention ! L'habileté de Robin Hobb pour décrire la psychologie de ses personnages n'est plus à prouver et les relations entre Fitz et le Fou sont toujours aussi fascinantes.

On s'intéresse également beaucoup aux personnages secondaires : l'agaçant Lant, le naïf Persévérance, le mystérieux Cendre et même le vieil Umbre dont le corps se dégrade à vitesse grand V depuis qu'il lui est déconseillé d'utiliser l'Art pour le maintenir en état. Et puis l'action se fait plus présente dans la seconde partie. Notre assassin se met enfin en route, et c'est une fois de plus l'occasion pour l'auteur de nous immerger dans son formidable univers. le Fou et l'Assassin rejoint Les Cités des Anciens, et c'est à Kelsingra, aux côtés de Malta et Reyn que nous nous retrouvons. Devinez dans quel état j'ai terminé ce roman : surexcitée ! J'ai littéralement dévoré le dernier tiers, incapable de lâcher ma liseuse jusqu'à une heure du matin, et tournant et me retournant dans mon lit une heure de plus après ça !

Un quatrième tome qui ne s'essouffle pas, loin de là, et qui nous laisse sur un atroce cliffhanger ! La suite est d'ores et déjà dans ma PAL et les paris sont ouverts : combien de temps vais-je résister avant de m'y plonger ?
Lien : http://etemporel.blogspot.fr..
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Lire un épisode des aventures de Fitz, c'est comme retrouver toute une bande d'amis : Umbre, le Fou, la famille royale... Dans cet épisode, Fitz est désormais un "vrai" prince, et doit donc se comporter comme tel. Pas facile quand ta fille vient de se faire enlever et ton domaine massacrer...
Cet épisode, contrairement au précédent qui m'avait, je crois, un peu déçue (très voire trop lent), celui-ci donne un coup de fouet à l'histoire. On retrouve notre Fitz habituellement larmoyant, toujours à geindre sur son sort, et en même temps on a plein d'empathie pour lui, et force est de reconnaître qu'il a gagné en maturité !
En revanche, il semble qu'il aurait été raisonnable de lire avant cette suite de suite les deux séries du même univers que Robin Hobb a intercalées dans la saga de l'Assassin (les Aventuriers de la mer et les Cités des Anciens), car il y est fait de nombreuses références, néanmoins, on comprend tout sans les avoir lues !
Vivement la suite (et fin ????), en 2017 !
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Grâce à Civil Bresinga et au concours du Lignage, les ravisseurs d'Abeille ont pu être localisés, et Fitz part aussitôt en chasse, escorté malgré lui par Crible, Lant et Persévérance, qu'il droguera afin de poursuivre sa quête seul.

Mais entretemps, Ellik et ses hommes ont déjoué la magie de Vindeliar et échappé au contrôle de Dwalia, et l'événement a tourné au bain de sang.

Fitz tuera de sa main le violeur qui a sévi à Flétribois, et sera sauvé de justesse d'Ellik par Persévérance, parvenu à le rattraper avec Crible, Lant et bientôt rejoints par un clan d'Artiseurs.

Abeille et les Serviteurs sont entrés dans le pilier : Fitz ne peut les y suivre car il s'était gavé d'écorce elfique pour échapper à la brume de Vindeliar, et les artiseurs d'Ortie affirment que leurs cibles ne sont pas réapparus de l'autre côté, qu'Abeille est morte dans le courant d'Art.

Fitz décide alors de se refaire une santé pour traquer les Serviteurs et se venger.

Une fois prêt, il échouera à nouveau dans sa tentative de semer Lant, Persévérance, le Fou et Braise/Cendre, et leur quête les conduira jusqu'à Kelsingra où ils retrouveront Malta, Reyn, Kanaï, et les dragons, notamment Gringalette et Tintaglia, à qui l'île blanche rappelle des émotions de peur et de tristesse sans qu'elles aient les souvenirs de ce qui a pu y advenir, et qui prêteront leur appui à la vengeance de Fitz et du Fou.

Un quatrième tome qui se traîne un peu au démarrage pour finir en apothéose : on retrouve dans cet opus les personnages qu'on a aimés dans les Aventuriers de la Mer et les Cités des Anciens, le Fou redevient Ambre, et l'évolution de Lant ou d'Abeille, en contact mental avec Père Loup (réminiscence d'Oeil-de- Nuit peut-être, j'espère le savoir dans la suite !) est passionnante à suivre.

Umbre est toujours fidèle à lui-même, malgré le passage du pilier à la fin du tome précédent qui l'a laissé inapte à poursuivre ses activités. D'ailleurs le Roi Devoir a estimé ne plus avoir besoin d'assassin ni d'informateur. Contre toute attente, c'est Kettricken (!) qui va se charger de réactiver et d'entretenir les réseaux d'Umbre...

J'ai adoré également la corneille Bigarrée et la jument Véloce, à qui Fitz refusera de se lier.

Et bien sûr, j'ai adoré leur arrivée à Kelsingra !

Encore une fois, vivement la suite !!!
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