[...] celui qui fait preuve de cruauté n'est qu'un vulgaire sot, répliqua Loristan. Dis-lui cela de ma part. La cruauté est une perte d'énergie. Elle ne fait que gaspiller nos forces et celles de nos victimes. Il faut être idiot pour s'épuiser de la sorte.
« Il fait partie d’une armée […] même s’il ne le sait pas encore. » (p. 34)
« Qu’est-ce qui donne aux Iaronoviotch ou aux Maranovitch le droit de gouverner, d’abord ? […] Ils n’étaient rien qu’une horde de paysans barbares quand ils se sont battus pour la couronne la première fois. Le plus barbare de la bande a gagné et les deux clans n’ont pas arrêté de se battre depuis. » (p. 59)
« Dussions-nous ne jamais voir notre pays de nos propres yeux, nous devons quand même lui donner notre vie. » (p. 9)
le silence qui règne dans les rues désertes des grandes villes, une fois que minuit en a étouffé la clameur et le tumulte, est une chose tellement merveilleuse qu'elle en devient presque incroyable .Alors qu'il n'y avait rien d'étrange à penser que le calme hantait les profondeurs des forets ou le sommet des montagnes, il était extraordinaire de penser que le bruit envahissait encore les rues de cette ville quelques heures plus tot, et qu 'il les envahirait à nouveau quelques heures plus tard.
pas un seul garçon au monde n avait un père comme le sien, c'était son chef , son idole.
« Pas un seul garçon au monde n’avait un père comme le sien, pas un ! C’était son idole et son chef. » (p. 7)