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Critique de karmemma
Fallon a été gravement brûlée dans un incendie, son corps couvert de cicatrices ne lui permet plus de poursuivre sa carrière d'actrice pourtant promise à un bel avenir.
Le jour anniversaire de ce triste événement, elle rencontre Ben qui se fait passer pour son petit ami pour la sortir d'une conversation houleuse avec son père. Aussitôt, c'est le coup de foudre : les deux jeunes gens ne voudraient plus se quitter, alors que Fallon doit partir le soir même pour tenter de relancer sa carrière l'autre bout du pays...
Ils décident donc de se retrouver tous les ans, le 9 novembre, au même endroit, sans aucun contact dans l'intervalle. Pour se donner le temps de grandir, d'expérimenter la vie avant de vivre leur passion...
L'écriture de Colleen Hoover est comme toujours très addictive. Elle nous propose une construction originale, des personnages attachants et une intrigue dans laquelle on se laisse tout de suite happer, au fil des mystères qu'elle laisse entrevoir.
Quand l'histoire prend une tournure plus sombre, on en est pris aux tripes. Elle ne nous épargnera pas les drames dans le dernier tiers du récit environ.
Bref, un page-turner efficace qui se dévore en un rien de temps.
Le jour anniversaire de ce triste événement, elle rencontre Ben qui se fait passer pour son petit ami pour la sortir d'une conversation houleuse avec son père. Aussitôt, c'est le coup de foudre : les deux jeunes gens ne voudraient plus se quitter, alors que Fallon doit partir le soir même pour tenter de relancer sa carrière l'autre bout du pays...
Ils décident donc de se retrouver tous les ans, le 9 novembre, au même endroit, sans aucun contact dans l'intervalle. Pour se donner le temps de grandir, d'expérimenter la vie avant de vivre leur passion...
L'écriture de Colleen Hoover est comme toujours très addictive. Elle nous propose une construction originale, des personnages attachants et une intrigue dans laquelle on se laisse tout de suite happer, au fil des mystères qu'elle laisse entrevoir.
Quand l'histoire prend une tournure plus sombre, on en est pris aux tripes. Elle ne nous épargnera pas les drames dans le dernier tiers du récit environ.
Bref, un page-turner efficace qui se dévore en un rien de temps.
