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Critique de michemuche
De 1965 à 1970 la musique rock est pour moi à son apogée aussi bien en Angleterre, qu'au USA.
la beat génération avec sa musique jazz et ses poètes Ginsberg Kerouac, William S Burroughs va laissée la place à une nouvelle génération .
c'est le début du flowers power.
San Francisco va devenir la ville où il faut être. California dreamin'
c'est un immense laboratoire, de nouveaux groupes comme les grateful dead, Jefferson airplane, country joe and the fish...vont tout donner à cette musique
" acid rock, ou psychédélic rock " terme trouvé par un groupe texan " the 13th floor elevator .
" le summer of love" de 1967 va être le point culminant de cette douce folie, le fuzz des guitares la reverb des amplis, tout ce qui fait un bon" son acid "
et puis il y aura la rivalité entre les musiciens de Los Angeles comme les Doors, les byrds vs San Francisco ,Janis Joplin les Jefferson Airplane...
j'oubliais les festivals mythiques comme Monterey, pour finir à Woodstock, fin des sixties.
Pour moi cette période que j'aime et que je n'ai pas connu a été la plus créative . Sans oublier de l'état d'esprits peace and love.
Je finirais cette critique par cette phrase " make book, not bomb"
la beat génération avec sa musique jazz et ses poètes Ginsberg Kerouac, William S Burroughs va laissée la place à une nouvelle génération .
c'est le début du flowers power.
San Francisco va devenir la ville où il faut être. California dreamin'
c'est un immense laboratoire, de nouveaux groupes comme les grateful dead, Jefferson airplane, country joe and the fish...vont tout donner à cette musique
" acid rock, ou psychédélic rock " terme trouvé par un groupe texan " the 13th floor elevator .
" le summer of love" de 1967 va être le point culminant de cette douce folie, le fuzz des guitares la reverb des amplis, tout ce qui fait un bon" son acid "
et puis il y aura la rivalité entre les musiciens de Los Angeles comme les Doors, les byrds vs San Francisco ,Janis Joplin les Jefferson Airplane...
j'oubliais les festivals mythiques comme Monterey, pour finir à Woodstock, fin des sixties.
Pour moi cette période que j'aime et que je n'ai pas connu a été la plus créative . Sans oublier de l'état d'esprits peace and love.
Je finirais cette critique par cette phrase " make book, not bomb"
