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Critique de bdelhausse
Ce livre est à l'image de son auteur, bourré d'optimisme et de pensée positive. En disciple de Boris Cyrulnik, Bruno Humbeeck passe la résilience à la moulinette de son analyse scientifique et de ses petites feintes à deux balles.
En effet, le plus dur à encaisser, ce sont les traits d'humour faciles, les blagues qui ne faisaient déjà pas rire ma grand-mère (mais elle n'avait aucun sens de l'humour).
Le reste, ce sont de profondes réflexions sur la résilience, la capacité de rebondir. On démarre sur les rescapés des camps de la mort. Comment un enfant peut-il rire et faire preuve d'optimisme après avoir vécu l'horreur nazie...? Voilà la question de base.
Le tout est présenté sous forme de dialogue entre Bruno Humbeeck et une adolescente, qui se pose des questions. OK, on n'est pas dupe, le dialogue est pipeauté, mais cela donne pas mal de peps au livre et cela lui donne du rythme, condition sine qua non pour lire ce genre d'ouvrages.
Bruno Humbeeck peut s'appuyer sur ses propres travaux auprès des adolescents et enfants pour étayer son discours sur la résilience. Energie, foi, humour, art, vision, tuteurs de résilience... l'auteur va passer en revue les facteurs qui vont accroître les chances de résilience. Bien sûr, la résilience, c'est un combat de tous les instants. Ce n'est pas un long fleuve tranquille. Cela se gagne, se reconstruit, pas à pas, au jour le jour. C'est un processus. On n'est jamais assuré d'y arriver mais on peut mettre le maximum de chances de son côté.
Attention, ce n'est pas un livre feel good. Ce n'est pas non plus une boîte à outils. Pas de recette miracle, style "comment faire pour être résilent".
Pour illustrer son propos, Bruno Humbeeck va partir de Bambi, héros résilient par excellence, pour aller jusqu'à Alice, pas résiliente du tout car elle se plonge dans les drogues et l'imaginaire, tout en passant par Harry Potter ou E.T. (le favori de l'auteur).
En effet, le plus dur à encaisser, ce sont les traits d'humour faciles, les blagues qui ne faisaient déjà pas rire ma grand-mère (mais elle n'avait aucun sens de l'humour).
Le reste, ce sont de profondes réflexions sur la résilience, la capacité de rebondir. On démarre sur les rescapés des camps de la mort. Comment un enfant peut-il rire et faire preuve d'optimisme après avoir vécu l'horreur nazie...? Voilà la question de base.
Le tout est présenté sous forme de dialogue entre Bruno Humbeeck et une adolescente, qui se pose des questions. OK, on n'est pas dupe, le dialogue est pipeauté, mais cela donne pas mal de peps au livre et cela lui donne du rythme, condition sine qua non pour lire ce genre d'ouvrages.
Bruno Humbeeck peut s'appuyer sur ses propres travaux auprès des adolescents et enfants pour étayer son discours sur la résilience. Energie, foi, humour, art, vision, tuteurs de résilience... l'auteur va passer en revue les facteurs qui vont accroître les chances de résilience. Bien sûr, la résilience, c'est un combat de tous les instants. Ce n'est pas un long fleuve tranquille. Cela se gagne, se reconstruit, pas à pas, au jour le jour. C'est un processus. On n'est jamais assuré d'y arriver mais on peut mettre le maximum de chances de son côté.
Attention, ce n'est pas un livre feel good. Ce n'est pas non plus une boîte à outils. Pas de recette miracle, style "comment faire pour être résilent".
Pour illustrer son propos, Bruno Humbeeck va partir de Bambi, héros résilient par excellence, pour aller jusqu'à Alice, pas résiliente du tout car elle se plonge dans les drogues et l'imaginaire, tout en passant par Harry Potter ou E.T. (le favori de l'auteur).
