« il se dégager de moi en riant et même si je savais qu’il n’allait que se débarrasser du préservatif, je voulus le rappeler, détestant le vide que je ressentais sans lui. C’était comme si on avait été connecté, comme si un lien s’était formé. Écartant cette idée folle, je rabattis les couvertures sur moi et je regardais le plafond mansardé de ma chambre.
On avait rien signé de tel. Il n’était pas à moi, ni moi à lui, pas à mon terme en tout cas. Je devais me débarrasser de ma vie d’ermite. Et Max était canon, sexy et il me désirer. Peut-être que je n’étais pas comme les filles qu’il fréquentait d’habitude. Je vais me retourner fit face au mur opposé. »
Et alors tu es apparue, et j'étais comme un papillon pathétique attiré par ta lumière. Alors quand tu me tueras, danseuse, fais-le gentiment.
« — J’ai écrit ce morceau pour une personne très, très spéciale.
— Comment ça s’appelle ? demanda quelqu’un.
— À bout de souffle. Parce que c’est ce que je ressens à chaque fois que je la regarde. »
« — Je vais te donner tout le temps dont tu as besoin. Tant que tu reviens vers moi…
Mes larmes menacèrent de couler. Il méritait mieux, pas quelqu’un comme moi, tellement remplie de peur.
—... parce que je suis fou amoureux de toi. »
« Elle allait bientôt apprendre que j’avais la ténacité d’un bouledogue. J’étais décidé à connaître cette fille ombrageuse aux yeux ambre, et rien ne m’arrêterait. Mais avec son attitude dédaigneuse et les barrières qu’elle avait déjà érigées entre nous, le temps était mon seul allié pour le moment. »
« — Tu comprendras bientôt que j’ai raison, Logan.
— Sur quoi ?
— Nous.
— Tu es fou.
— Probablement. Trois jours et tu m’embrasseras. Trois semaines, tu m’aimeras. Dans trois ans (il s’esclaffa ouvertement)… ? Qui sait ? »
« Elle refusait de chercher quoi que ce soit de plus profond, tout ce qui pourrait libérer son cœur de la cage en acier où elle l’avait emprisonné. »