>
Critique de EmmaVando
"Il y a des larmes dans le coeur qui n'atteignent pas toujours les yeux.
Eté 2020 je découvrais Les Demoiselles, coup de coeur pour ses personnages, son Pays basque et ses bulles pétillantes. Quand en 2021, j'ai compris que Ce que les étoiles doivent à la nuit était en quelque sorte une suite, je n'ai pas hésité : il me le fallait. On retrouve Liz, personnage à qui était adressé la longue lettre de Rosa, une femme, une cheffe presque étoilée, une femme blessée, une fille endeuillée.
Et quelle lecture ca a été. J'y ai retrouvé beaucoup des mêmes impressions de ma lecture des Demoiselles: l'ambiance des Pays Basque, le faste des fêtes, l'amour de la vie, la famille que l'on choisi. Mais on y trouve aussi une grande gravité, un amour de la cuisine, de la bonne cuisine, que j'ai beaucoup apprécié. le roman a deux voix: celle de Balthazar, qui semble émaner du passé, et celle principale, de Liz. Les personnages sont d'une justesse incroyable, tantôt touchants, tantôt intrigants, c'est quelque chose que j'avais déjà beaucoup aimé dans les Demoiselles, et que j'ai adoré retrouver. Rosa, Nana, la Marquise, Gwen, Nine, Peyo, Balthazar et bien sur Liz, tous vont m'accompagner encore quelques temps.
Une histoire sur la recherche de soi, sur les blessures du passé, le dépassement. On sent beaucoup d'amour pour la cuisine, pour les terres basques. Bref, j'ai beaucoup aimé toute l'identité du roman. L'ambiance m'a transportée, les mots m'ont chamboulé ( qui aurait cru que je pleurerais pour des escargots), un vrai coup de coeur de l'été !
PS: ca m'a bien sur donné envie de relire Les Demoiselles...
Eté 2020 je découvrais Les Demoiselles, coup de coeur pour ses personnages, son Pays basque et ses bulles pétillantes. Quand en 2021, j'ai compris que Ce que les étoiles doivent à la nuit était en quelque sorte une suite, je n'ai pas hésité : il me le fallait. On retrouve Liz, personnage à qui était adressé la longue lettre de Rosa, une femme, une cheffe presque étoilée, une femme blessée, une fille endeuillée.
Et quelle lecture ca a été. J'y ai retrouvé beaucoup des mêmes impressions de ma lecture des Demoiselles: l'ambiance des Pays Basque, le faste des fêtes, l'amour de la vie, la famille que l'on choisi. Mais on y trouve aussi une grande gravité, un amour de la cuisine, de la bonne cuisine, que j'ai beaucoup apprécié. le roman a deux voix: celle de Balthazar, qui semble émaner du passé, et celle principale, de Liz. Les personnages sont d'une justesse incroyable, tantôt touchants, tantôt intrigants, c'est quelque chose que j'avais déjà beaucoup aimé dans les Demoiselles, et que j'ai adoré retrouver. Rosa, Nana, la Marquise, Gwen, Nine, Peyo, Balthazar et bien sur Liz, tous vont m'accompagner encore quelques temps.
Une histoire sur la recherche de soi, sur les blessures du passé, le dépassement. On sent beaucoup d'amour pour la cuisine, pour les terres basques. Bref, j'ai beaucoup aimé toute l'identité du roman. L'ambiance m'a transportée, les mots m'ont chamboulé ( qui aurait cru que je pleurerais pour des escargots), un vrai coup de coeur de l'été !
PS: ca m'a bien sur donné envie de relire Les Demoiselles...
