Comment ai-je pu autant apprécier Brasier noir, attendre avec impatience sa suite, me jeter dessus dès sa sortie, puis peiner (et je retiens mes mots) avec L'Arbre aux morts ? Je m'interroge sans comprendre...
Le 2e opus de cette saga de Greg Iles, traduit par Aurélie Tronchet, tombe dans un double travers : une extrême complexification de l'intrigue comme des personnages et, paradoxalement, une histoire qui n'avance plus, tourne parfois en rond et mérite une attention incessante du lecteur à chaque page. Et il y en a 970...
Vous l'aurez compris, une - énorme - déception pour moi (même si cette plongée bien noire dans l'histoire américaine, petite et grande, reste passionnante), donc je ne ferai pas plus long.
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