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Critique de Jall


On m'avait conseillé Indridason bien des fois, mais je n'avais pas accroché tant que ça à la Cité des Jarres. Soit j'étais trop jeune, soit je me suis habituée à lire des polars.
Toujours est-il que j'ai beaucoup aimé La Voix, au point de ne plus le lâcher.
Un employé chargé d'animer le Noël des enfants de l'hôtel où il travaille, en habit idoine, est retrouvé assassiné dans sa chambrette en sous-sol. Détail surprenant : le monsieur a encore un préservatif sur lui.
Evidemment, ça casse le mythe, surtout dans un hôtel chic où bon nombre de clients sont des touristes attirés par les pays nordiques et le Père Noël en cette période de l'année.
Le commissaire Erlendur Sveinsson, personnage atypique s'il en est, s'installe dans une chambre de l'hôtel pour résoudre l'enquête.
Celle-ci va convoquer la fille du commissaire, ancienne toxico avec laquelle il communique comme il peut, des collectionneurs de vinyls de voix enfantines (d'où le titre), le personnel de l'hôtel, l'enfance du père Noël assassiné, qui pourrait être la clé de l'histoire.
(Remarquez bien le conditionnel, non, vous ne saurez rien !)
Bien écrit(/traduit), bien ficelé avec une envie de poursuivre sans lâcher le livre, des personnages surprenants sans être invraisemblables, un décor intrigant (l'Islande n'est pas un pays si connu), c'est un ouvrage qui plaira aux amateurs de polars, avec personnage récurent de surcroît.
Pour ma part, je poursuivrai les aventures d'Erlendur Sveinsson.
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