Je me suis lancée dans ce bouquin les yeux fermés (c'est idiot pour lire) à la seule vue du nom de l'auteur.
Hélas revoilà Konrad qui n'en finit pas de chercher (sans succès, est-il besoin de la préciser ?) l'assassin de son père.
J'ai eu la désagréable impression qu'Arnaldur faisait du remplissage : un squelette dans la cloison par-ci, des photos pornographiques par-là, de la maltraitance domestique par ailleurs. J'avoue m'être ennuyée.
Pourra-t-on espérer un retour vers du plus consistant ?
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