Avec un humour très clairement « à couper au couteau », l'auteur passe sa romance à (se) raconter les années qui passent (celles des années 40 aux années 80). Je n'ai pas rit une seule fois ; quand l'ébauche d'un sourire se fait sentir, il est vite retenu par la phrase qui suit. On ressent bien l'amertume et le pessimisme qui se dégage des chapitres trop longs. D'un réalisme certain, on a l'impression que les personnages n'ont aucune chance d'échapper à leur destin : démoralisant !
Je me suis un peu ennuyée...mais ne regrette pas de l'avoir lu.
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