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Critique de Sabinerose
Le décor posé dans les deux premiers tomes est maintenant bien en place. A ma droite, des goules, cherchant à vivre en paix, mais ne pouvant se nourrir que de chair humaine (fraîche et jeune, si possible). A ma gauche, des humains, voulant eux aussi vivre en paix, mais voyant régulièrement certains de leurs proches transformés en open bar. Et au milieu Ken Kaneki, humain et goule, ni totalement humain ni totalement goule.
L'affrontement peut commencer.
Et le moins qu'on puisse dire, c'est qu'il commence de façon magistrale, les deux camps comptant parmi leurs rangs des combattants aux positions bien affirmées.
L'intelligence du scénario est de ne pas s'arrêter à de la violence de bas-étage ou des scènes gores pur jus (même s'il y en a) ni de cantonner ses protagonistes dans des rôles simplistes bons/méchants, bourreaux/victimes. Il laisse au contraire à chacun le temps de développer ses arguments, rendant ainsi leur confrontation presque plus brutale par les dialogues que par les dessins. Hyper-émotifs s'abstenir !
La fin du récit laissant entrevoir une suite tout aussi intéressante et palpitante, je vais de ce pas me ruer sur le tome 4.
L'affrontement peut commencer.
Et le moins qu'on puisse dire, c'est qu'il commence de façon magistrale, les deux camps comptant parmi leurs rangs des combattants aux positions bien affirmées.
L'intelligence du scénario est de ne pas s'arrêter à de la violence de bas-étage ou des scènes gores pur jus (même s'il y en a) ni de cantonner ses protagonistes dans des rôles simplistes bons/méchants, bourreaux/victimes. Il laisse au contraire à chacun le temps de développer ses arguments, rendant ainsi leur confrontation presque plus brutale par les dialogues que par les dessins. Hyper-émotifs s'abstenir !
La fin du récit laissant entrevoir une suite tout aussi intéressante et palpitante, je vais de ce pas me ruer sur le tome 4.
