Je dois faire deux aveux.
Le premier c'est que je n'avais pas encore lu le
Prix Nobel britannique d'origine japonaise - et oui on a tous des impasses - et c'était mon cas.
Le second est que j'ai commencé par ce recueil de nouvelles, trouvé dans ma Médiathèque, un peu par hasard, et que je dois avouer ne pas avoir été transportée.
Certes il y a un certain charme suranné dans ces cinq nouvelles d'un autre temps.
On y croise des couples, qui vont plutôt mal, des musiciens - connus et inconnus - et des lieux différents. Tous ont un lien avec la musique, soit qu'ils en vivent, soit qu'ils en rêvent, soit qu'ils en écoutent, tandis que le couple se défait dans une atmosphère de nostalgie et de mélancolie.
Je ne nie pas qu'elles aient un certain charme, mais je dois reconnaître que je suis restée sur le bord du chemin sans être embarquée réellement.
Je crois que cela arrive parfois - rien de grave au fond - et je pense que je réessaierais ultérieurement.
Je ne doute pas que "
Les vestiges du jour" soit un grand livre (je suis fan de sa traduction en film avec Anthony Hopkins) et que Ishiguro soit un grand écrivain.
Mais ce sera pour une autre chronique - une autre fois.
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