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Critique de FMK
Après 1 an sans nouvelle (oui, ce tome 4 s'est fait attendre !), on retrouve le jeune Shio Fumis là où l'on l'avait laissé. le nouvel apprenti kahuna débute enfin sa formation à la bibliothèque centrale d'Afshak. Il va rencontrer ses camarades de promotion, garçon et fille, et réaliser qu'il va lui falloir bien plus que de l'enthousiasme et de la motivation pour réussir...
Encore une fois, je me suis laissé totalement transporter par cet univers oriental merveilleux, où les livres sont au centre de tous les enjeux politiques. Je ne me lasse pas d'admirer les architectures somptueuses et ultra-détaillées de ces immenses bibliothèques semblables à des palais tout droit sortis des Mille-et-une Nuits... La mangaka est également très douée pour les costumes : les uniformes des kahunas, les habits des 12 sages ainsi que les innombrables parures et bijoux que portent les personnages sont magnifiques. de plus, l'univers est très riche, avec ses différentes ethnies, leurs histoires, leur mythologie... Il y a encore tellement de choses à voir !
J'ai été extrêmement surpris d'apprendre que Sedona était en fait un homme ! Depuis le début, je le voyais comme une des kahunas de la bibliothèque centrale, une fonction présentée dans le tome 1 comme essentiellement exercée par des femmes, d'autant que son apparence laissait peu de place au doute... Mais j'avais tort, et la relation entre Shio et Sedona m'apparaît maintenant différente. Il faudra sans doute que je relise les tomes précédents avec cette donnée en tête pour y voir plus clair.
Dans ce tome, on rencontre énormément de nouvelles têtes ! Même si leurs noms orientaux, souvent composés de plusieurs mots, vont être très difficiles à retenir, leurs personnalités sont assez affirmées pour que le lecteur soit capable de les identifier. Certains cachent sans doute bien des secrets, il me tarde d'en savoir plus sur chacun d'entre eux !
J'ai beaucoup aimé ce tome 4, qui introduit la seconde partie de l'histoire, centrée sur l'apprentissage du métier de kahuna par Shio. J'espère qu'il y aura moins d'écarts avant la sortie du prochain, car d'ici là j'aurai sans doute oublié les noms de tous les personnages secondaires... Et les mots qui concluent ce tome ne font que renforcer mon impatience !
Encore une fois, je me suis laissé totalement transporter par cet univers oriental merveilleux, où les livres sont au centre de tous les enjeux politiques. Je ne me lasse pas d'admirer les architectures somptueuses et ultra-détaillées de ces immenses bibliothèques semblables à des palais tout droit sortis des Mille-et-une Nuits... La mangaka est également très douée pour les costumes : les uniformes des kahunas, les habits des 12 sages ainsi que les innombrables parures et bijoux que portent les personnages sont magnifiques. de plus, l'univers est très riche, avec ses différentes ethnies, leurs histoires, leur mythologie... Il y a encore tellement de choses à voir !
J'ai été extrêmement surpris d'apprendre que Sedona était en fait un homme ! Depuis le début, je le voyais comme une des kahunas de la bibliothèque centrale, une fonction présentée dans le tome 1 comme essentiellement exercée par des femmes, d'autant que son apparence laissait peu de place au doute... Mais j'avais tort, et la relation entre Shio et Sedona m'apparaît maintenant différente. Il faudra sans doute que je relise les tomes précédents avec cette donnée en tête pour y voir plus clair.
Dans ce tome, on rencontre énormément de nouvelles têtes ! Même si leurs noms orientaux, souvent composés de plusieurs mots, vont être très difficiles à retenir, leurs personnalités sont assez affirmées pour que le lecteur soit capable de les identifier. Certains cachent sans doute bien des secrets, il me tarde d'en savoir plus sur chacun d'entre eux !
J'ai beaucoup aimé ce tome 4, qui introduit la seconde partie de l'histoire, centrée sur l'apprentissage du métier de kahuna par Shio. J'espère qu'il y aura moins d'écarts avant la sortie du prochain, car d'ici là j'aurai sans doute oublié les noms de tous les personnages secondaires... Et les mots qui concluent ce tome ne font que renforcer mon impatience !
