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Critique de Noctenbule


Le chat qui lisait à l'envers est la premier tome, d'une longue série policière écrite par une américaine, paru en 1966 dans un style so british. On découvre un personnage qui va être celui que l'on va suivre dans les autres histoires. Jim Qwilleran, ancien chroniqueur criminel devenu journaliste artistique. Il n'y connaît rien en art, mais c'est d'autant mieux. Son trait physique caractéristique c'est sa moustache qui le titille par moment. Il n'aime pas l'alcool et adore boire des jus de tomates.

Bienvenu au coeur d'un journal, avec l'odeur du vieux papier, le bruit des machines à écrire et aussi le fameux Club de la presse où le serveur connaît pleins de ragots. Son journal le Daily Fluxion, était surtout réputé pour sa rubrique artistique avec les articles de George Bonifield Mountclemens III qui n'hésite pas à être acerbe et sans pitié. Ce dernier va être au coeur de l'intrigue qui va composer l'histoire. Jim va rencontrer George chez lui et toute sa vie va se transformer.
Suite à cela, il a un petit appart pour pas cher juste à l'étage en dessous de son compère journaliste et un nouvel ami très spécial. Un chat siamois à l'instinct développé au nom Kao k'o Kung dit Koko.

Le patron d'une agence d'art meurt assassiné, puis George Bonifield Mountclemens III, un artiste nommé Ciseau mais qu'est-ce qui relit toutes ces personnes? Un tueur en série? Il veut mener l'enquête pour comprendre et le chat va beaucoup l'aider. D'ailleurs, sans lui il n'aurait rien compris, il serait d'ailleurs même mort.

L'histoire n'est pas structurée comme peut l'être à un Agatha Christie. Ici tout est lent, calme et tranquille. Pas de précipitation pour découvrir la ville, les gens, les artistes, on a le temps. L'avantage, cela vide la tête. La lecture ne stress pas et ne perturbe pas. La lecture d'un nouveau tome dans quelque temps n'est pas à exclure.
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