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Critique de Christian_Attard
Hitchcock expliquait à François Truffaut qu'il n'y avait qu'une solution pour palier aux incohérences d'un scénario et les camoufler aux yeux des spectateurs, c'était de maintenir la tension et l'action au plus vif niveau. Ainsi personne n'aurait le temps de tenter de comprendre l'absurdité de certaines situations.
C'est exactement ce qui se produit ici. Ainsi, par exemple pour justifier qu'il ne pulvérise pas tout de suite la base de l'Espadon, le méchant Olrik répond qu'il lui faut mettre la main sur l'engin. On comprend bien que cela ne tient pas une seconde car alors ses adversaires auront la possibilité de s'auto-détruire avant qu'il ne s'empare d'eux !
C'est avec ce troisième album que l'on réalise la puissance non usurpée du génie de Jacobs, la qualité stylistique très originale de son oeuvre et la justesse des appréciations élogieuses à son propos.
Une incontournable réussite, violente et atomique qui replacée dans le contexte de l'après Hiroshima prend aussi valeur de message militaire et politique.
C'est exactement ce qui se produit ici. Ainsi, par exemple pour justifier qu'il ne pulvérise pas tout de suite la base de l'Espadon, le méchant Olrik répond qu'il lui faut mettre la main sur l'engin. On comprend bien que cela ne tient pas une seconde car alors ses adversaires auront la possibilité de s'auto-détruire avant qu'il ne s'empare d'eux !
C'est avec ce troisième album que l'on réalise la puissance non usurpée du génie de Jacobs, la qualité stylistique très originale de son oeuvre et la justesse des appréciations élogieuses à son propos.
Une incontournable réussite, violente et atomique qui replacée dans le contexte de l'après Hiroshima prend aussi valeur de message militaire et politique.
