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Critique de patriciabiron
Cette saga me faisait de l'oeil depuis sa sortie et je remercie la ME pour ce #servicedepresse
A Wiesbaden en 1945, le café « Engel », lieu emblématique où se réunissaient avant la guerre, artistes et personnalités influentes, tente de reprendre vie malgré les restrictions et l'occupation américaine chargée de débusquer tous ceux qui ont servi le régime nazi. Tenu par Else Koch et sa fille Hilde jusqu'au retour de Heinz, il a été le refuge d'amis juifs et d'artistes et doit aujourd'hui héberger ceux qui ont tout perdu.
Dans ce premier volet, consacré à l'année 45, nous faisons connaissance avec la famille Koch, ses pensionnaires, ses clients, et tous ceux qui ont croisé leur route durant les années de guerre. On fait donc quelques incursions en France, mais l'essentiel et le plus intéressant, c'est de vivre cette période du côté du peuple allemand, tant à l'est avec l'avancée des russes, qu'à l'ouest où il faut cohabiter avec les américains.
L'autrice nous offre une galerie de personnages extraordinaires qui ont tous une histoire à nous raconter. On découvrira celle de Luisa, de Jean-Jacques, de Luisa, d'Addi, de Fritz et de bien d'autres, certains attachants, d'autres détestables. Il y est question d'amour, d'amitié, de famille, de courage et de lâcheté, de respect et d'entraide, … ou de mépris. On se laisse happer par leur récit, par les épreuves vécues ou les quelques joies ou satisfactions ressenties dans cette période tragique. le récit est vivant, et passionnant par son empreinte historique.
Une chose est sure, c'est qu'une fois que vous aurez poussé la porte du café Engel, vous n'aurez plus envie d'en ressortir.
Pour ma part, je n'ai qu'une hâte, celle d' revenir.
A Wiesbaden en 1945, le café « Engel », lieu emblématique où se réunissaient avant la guerre, artistes et personnalités influentes, tente de reprendre vie malgré les restrictions et l'occupation américaine chargée de débusquer tous ceux qui ont servi le régime nazi. Tenu par Else Koch et sa fille Hilde jusqu'au retour de Heinz, il a été le refuge d'amis juifs et d'artistes et doit aujourd'hui héberger ceux qui ont tout perdu.
Dans ce premier volet, consacré à l'année 45, nous faisons connaissance avec la famille Koch, ses pensionnaires, ses clients, et tous ceux qui ont croisé leur route durant les années de guerre. On fait donc quelques incursions en France, mais l'essentiel et le plus intéressant, c'est de vivre cette période du côté du peuple allemand, tant à l'est avec l'avancée des russes, qu'à l'ouest où il faut cohabiter avec les américains.
L'autrice nous offre une galerie de personnages extraordinaires qui ont tous une histoire à nous raconter. On découvrira celle de Luisa, de Jean-Jacques, de Luisa, d'Addi, de Fritz et de bien d'autres, certains attachants, d'autres détestables. Il y est question d'amour, d'amitié, de famille, de courage et de lâcheté, de respect et d'entraide, … ou de mépris. On se laisse happer par leur récit, par les épreuves vécues ou les quelques joies ou satisfactions ressenties dans cette période tragique. le récit est vivant, et passionnant par son empreinte historique.
Une chose est sure, c'est qu'une fois que vous aurez poussé la porte du café Engel, vous n'aurez plus envie d'en ressortir.
Pour ma part, je n'ai qu'une hâte, celle d' revenir.
