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Critique de DianeTats
Après La villa aux étoffes et Les filles de la villa aux étoffes , voici le 3 ème tome de la saga familiale de Anne Jacobs, L'héritage de la villa aux étoffes .
Ayant déjà lu et apprécié les deux premiers ouvrages, j'ai été ravie de poursuivre mon séjour en compagnie de la famille Melzer et de leurs proches.
La guerre enfin terminée, l'économie remonte lentement, mais alors ce sont d'autres difficultés qui ébranlent les Melzer, la famille est près de se disloquer. Les mentalités évoluent et se heurtent aux adeptes de la tradition. Les petits enfants grandissent et prennent maintenant une part active dans l'histoire.
J'ai aimé me retrouver encore une fois parmi les personnages du récit, que se soit le personnel ou les membres de la famille elle-même. L'écriture est telle que je ne me sens plus lectrice d'un roman mais spectatrice secrète de ces vies qui évoluent sous mes yeux.
Ce troisième tome pourrait-il se lire indépendamment des deux premiers ? Je dirais que c'est possible mais certainement moins agréable. Je m'explique : l'autrice prend soin de réexpliquer brièvement au lecteur le passé de chaque personnage intervenant dans l'histoire. le texte sera donc compris. Mais certaines petites intrigues des premiers tomes trouvent leur aboutissement dans ce troisième tome, ce qui le rend plus intéressant pour des lecteurs déjà familiers avec le passé des personnages.
L'écriture d' Anne Jacobs est vivante, descriptive , on perçoit les scènes décrites, elles se déroulent sous nos yeux. Ce n'est certes pas un roman d'aventures, aux grandes péripéties, qui nous tiendrait en haleine ; c'est juste une agréable saga familiale qui déploie une palette de personnages avec des caractères bien différents et les confronte aux aléas de la vie.
Le livre est épais mais il se lit facilement.
J'ai constaté qu'en Allemagne cette saga a un quatrième tome... Je ne sais pas si il sera traduit en français. Ceci dit, ce troisième tome se termine sans laisser présumer de suite.
Ayant déjà lu et apprécié les deux premiers ouvrages, j'ai été ravie de poursuivre mon séjour en compagnie de la famille Melzer et de leurs proches.
La guerre enfin terminée, l'économie remonte lentement, mais alors ce sont d'autres difficultés qui ébranlent les Melzer, la famille est près de se disloquer. Les mentalités évoluent et se heurtent aux adeptes de la tradition. Les petits enfants grandissent et prennent maintenant une part active dans l'histoire.
J'ai aimé me retrouver encore une fois parmi les personnages du récit, que se soit le personnel ou les membres de la famille elle-même. L'écriture est telle que je ne me sens plus lectrice d'un roman mais spectatrice secrète de ces vies qui évoluent sous mes yeux.
Ce troisième tome pourrait-il se lire indépendamment des deux premiers ? Je dirais que c'est possible mais certainement moins agréable. Je m'explique : l'autrice prend soin de réexpliquer brièvement au lecteur le passé de chaque personnage intervenant dans l'histoire. le texte sera donc compris. Mais certaines petites intrigues des premiers tomes trouvent leur aboutissement dans ce troisième tome, ce qui le rend plus intéressant pour des lecteurs déjà familiers avec le passé des personnages.
L'écriture d' Anne Jacobs est vivante, descriptive , on perçoit les scènes décrites, elles se déroulent sous nos yeux. Ce n'est certes pas un roman d'aventures, aux grandes péripéties, qui nous tiendrait en haleine ; c'est juste une agréable saga familiale qui déploie une palette de personnages avec des caractères bien différents et les confronte aux aléas de la vie.
Le livre est épais mais il se lit facilement.
J'ai constaté qu'en Allemagne cette saga a un quatrième tome... Je ne sais pas si il sera traduit en français. Ceci dit, ce troisième tome se termine sans laisser présumer de suite.
