le bonheur est contagieux, ne l'oublions pas
La vengeance est toujours un mauvais choix. - Le déplaisir de l'autre ne doit jamais passer avant mon propre plaisir -
Je crois qu'il existe une sorte de trame vitale qui nous porte. On peut lui donner le nom qu'on veut : La Vie, Dieu, la conscience, l'Humanité.
Le cri fait sentir aux patients qu'ils peuvent refaire surface, qu'il existe dans leur muraille défensive une porte d'accès franchissable à volonté, dans un sens comme dans l'autre.
Quel machisme persistant implique-ti-il que la femme n'a sa justification que dans le fait d'enfanter, d'être - utile - à la société ?
Nous sommes libres, nous ne devons rien, si ce n'est que d'être heureux pour nous mêmes - ce que je crois être notre nature, mais nous n'y sommes pas obligés !
Nous estimons, par exemple, avoir un droit de décision sur les études de nos enfants, sur leurs orientations professionnelles, voire sur leur vie sentimentale.
Celui qui n'est pas heureux ne peux pas grand chose pour le bonheur d'autrui.
Et aime l'autre comme tu t'aimes : ni moins, ni davantage !
Le retardataire se fabrique aussi une excitation, une angoisse artificielle qu'il préfèrera, là encore, à l'absence de toute stimulation.