Étrange que l'auteur d' "Un
portrait de femme" ait aussi signé ce roman… La tante Lavinia et le jeune Morris sont amusants et bien campés mais la relation entre Catherine et son père m'ont laissé une impression de malaise, que dissipent quelque peu les derniers chapitres (comme si
H. James voulait rectifier le tir??).
Commenter  J’apprécie         10