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Critique de Hayatte_B
Ce roman c'est un peu un mélange des genres : on y retrouve les caractéristiques d'un bon policier, celui d'un thriller aussi, mélangé à un peu de fantastique.
Dès les premières lignes, ce roman nous plonge dans une atmosphère particulière : celle des tourbières suédoises, perdues dans un paysage fantomatique.
Par la fenêtre de la petite maison, on voit les arbres nus de la forêt qui nous entoure. On entend ses bruits. On sent l'odeur des feuilles d'automne en décomposition. Celle du feu de bois nous laisse un arrière goût de fumée dans la bouche.
C'est dans cette ambiance que Nathalie évolue. Celle qui est revenue vivre dans son village natal. Pourquoi d'ailleurs est-elle là ? Est-ce réellement pour son projet professionnel. Ne vient-elle pas plutôt pour se souvenir ? Se souvenir pour se soigner.
Se soigner des morts de la tourbière. Cette tourbière qui prends les hommes. Cette tourbière qui en a faim. Cette tourbière à qui on offre des hommes pour calmer cette faim.
De nombreux cadavres y sont découverts, un pieu en bois attaché dans le dos, des pièces de monnaie de la poche. Qui a fait ça ? Qui est le coupable ?
Se peut-il que ce soit … Non ! le coupable n'est pas celui qu'on imagine …
Et bien que le dénouement final ne soit pas celui auquel le lecteur s'attend, je l'ai trouvé beaucoup trop simple. Ce final, selon moi, vient gâcher tout le travail amont de l'auteur par cette trop grande simplicité.
Dès les premières lignes, ce roman nous plonge dans une atmosphère particulière : celle des tourbières suédoises, perdues dans un paysage fantomatique.
Par la fenêtre de la petite maison, on voit les arbres nus de la forêt qui nous entoure. On entend ses bruits. On sent l'odeur des feuilles d'automne en décomposition. Celle du feu de bois nous laisse un arrière goût de fumée dans la bouche.
C'est dans cette ambiance que Nathalie évolue. Celle qui est revenue vivre dans son village natal. Pourquoi d'ailleurs est-elle là ? Est-ce réellement pour son projet professionnel. Ne vient-elle pas plutôt pour se souvenir ? Se souvenir pour se soigner.
Se soigner des morts de la tourbière. Cette tourbière qui prends les hommes. Cette tourbière qui en a faim. Cette tourbière à qui on offre des hommes pour calmer cette faim.
De nombreux cadavres y sont découverts, un pieu en bois attaché dans le dos, des pièces de monnaie de la poche. Qui a fait ça ? Qui est le coupable ?
Se peut-il que ce soit … Non ! le coupable n'est pas celui qu'on imagine …
Et bien que le dénouement final ne soit pas celui auquel le lecteur s'attend, je l'ai trouvé beaucoup trop simple. Ce final, selon moi, vient gâcher tout le travail amont de l'auteur par cette trop grande simplicité.
