Comprendre et ne pas juger. Maxime de
Georges Simenon, qui me vient souvent à l'esprit quand je lis un
Armel Job. Mon auteur wallon préféré a le don de rendre extrêmement vivantes des histoires simples de gens simples de notre région. Toujours avec une perception aiguë de l'être humain, y compris dans les petites compromissions ou la naïveté qui peut virer à la bêtise. le sens des mots, le choc des images, belle écriture fluide d'un érudit qui ne ressent pas le besoin de le démontrer. Il m'a manqué les traits d'humour parfois sarcastiques qui parsèment souvent ses récits. Bon job quand même.
Commenter  J’apprécie         60