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Critique de Ogusta
La suite de la Reine du Tearling.
Lu des mois après le premier tome durant les congés d'été. du coup, je l'ai davantage savouré.
On retrouve avec plaisir les héros atypiques et bien campés du début de la trilogie. Kealsea Raleigh, Glynn maintenant, prend de la consistance et assume son rôle de Reine. Face à elle, la Reine Rouge se prépare à envahir le Tearling. La magie prend beaucoup plus de place dans ce Tome et on découvre le Monde avant la traversée de William Tear vers un monde nouveau. le monde prétraversien ressemble à s'y méprendre à ce que deviendra le nôtre. Il est violent, pollué, gangréné de toutes parts par l'opportunisme et la puissance de l'argent. La fuite loin de ce monde pour repartir sur de nouvelles bases, sans technologie, l'utopie de William Tear, fait penser à un récit d'anticipation.
Erika Johansen mélange les genres.
Je ne suis peut-être pas objective, après tout c'était les vacances, mais j'ai mieux aimé le second tome que le premier et c'est un fait assez rare pour être souligné.
Ce
Lu des mois après le premier tome durant les congés d'été. du coup, je l'ai davantage savouré.
On retrouve avec plaisir les héros atypiques et bien campés du début de la trilogie. Kealsea Raleigh, Glynn maintenant, prend de la consistance et assume son rôle de Reine. Face à elle, la Reine Rouge se prépare à envahir le Tearling. La magie prend beaucoup plus de place dans ce Tome et on découvre le Monde avant la traversée de William Tear vers un monde nouveau. le monde prétraversien ressemble à s'y méprendre à ce que deviendra le nôtre. Il est violent, pollué, gangréné de toutes parts par l'opportunisme et la puissance de l'argent. La fuite loin de ce monde pour repartir sur de nouvelles bases, sans technologie, l'utopie de William Tear, fait penser à un récit d'anticipation.
Erika Johansen mélange les genres.
Je ne suis peut-être pas objective, après tout c'était les vacances, mais j'ai mieux aimé le second tome que le premier et c'est un fait assez rare pour être souligné.
Ce
