Ayant lu et vraiment apprécié "
Le Vieux qui ne voulait pas fêter son anniversaire", je m'attendais à beaucoup mieux de
Jonas Jonasson, d'autant plus qu'il prend son temps pour écrire (le précédent date d'il y a 3 ans, on ne peut pas lui reprocher d'écrire pour vendre).
L'idée dé départ est sympa et peut prêter à de beaux dialogues et des situations fantasques, mais le tout est insipide. Les dialogues sont poussifs, j'ai trouvé un côté scolaire à la rencontre des personnages pour les mettre en lien.
Les rebondissements et je jeu de la réalité historique (même arrangée) associée à sa fiction étaient travaillés et absurde à souhait dans sa première oeuvre.
Comme la plupart de ceux qui n'ont pas aimé, la lecture a été difficile et lue en diagonale sur la fin, surtout que
Proust m'attendait juste à côté (oui, j'avoue la comparaison n'est pas égale !)
Merci tout de même à Babélio et la Maison de la Presse d'avoir joué le jeu de la masse critique.
Commenter  J’apprécie         191