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Critique de BillDOE


Anabel travaille dans une boutique de tatouages, piercings et implants gothiques. A sa sortie de prison elle n'a pas pu retrouver le travail d'infirmière qu'elle exerçait auparavant. Elle a vingt-cinq ans et ne se voit pas d'avenir.
Monsieur Jacob est le propriétaire d'une entreprise de pompe funèbre. Personnage énigmatique, il déjeune tous les midi chez « Loulou » après avoir lu le journal, jamais dans la même langue, assis sur un banc dans le jardin public du quartier.
Oleg a passé son enfance proche de la centrale nucléaire de Tchernobyl. Il a perdu toute sa famille après le terrible accident de réacteur. Depuis, il est tueur à gage.
Ruderi finit de purger sa peine de quarante années de prison. Il est libérable. Lorsqu'il s'est fait prendre, ses deux complices, un homme et une femme ont pu s'échapper. Ils étaient tous les trois en train de cambrioler un diamantaire à son domicile. Ce dernier est mort sous les coups destinés à lui extirper le code du coffre. Puis ils s'en étaient pris à sa fille de cinq ans qu'ils ont torturée, massacrée et abandonnée avec de terribles séquelles qui la laisseront défigurée et paralysée pour le restant de ses jours.
Tous ces personnages n'ont apparemment rien qui les relient sinon un terrible secret dont le titre n'est pas étranger.
« Ad vitam aeternam » est un très bon roman noir qui se lit d'une traite. La construction de cette énigme est parfaite et Thierry Jonquet a le talent pour captiver l'attention du lecteur jusqu'au bout de son histoire.
Editions du Seuil, Points, 351 pages.
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