AccueilMes livresAjouter des livres
Découvrir
LivresAuteursLecteursCritiquesCitationsListesQuizGroupesQuestionsPrix BabelioRencontresLe Carnet
>

Critique de ibon


ibon
12 février 2019
Un justicier rôde dans la ville. le numéro 52 va l'apprendre à ses dépens: on ne fréquente pas une femme qui n'est pas la sienne.
Ce justicier présente, comme souvent dans les personnages principaux de Jonquet, un problème psychologique notable. Ici, il se prend pour quelqu'un d'autre: le dieu Hadès.

Cet Hadès ou le souverain des enfers, comme il vous siéra, va être amener à recevoir de nombreux hôtes sur les bords du Styx.

Aussitôt ce dossier 52 classé par le tueur, entre en scène le commissaire Salarnier qui ne va pas très fort, la dépression le guette et, heureusement pour lui, même s'il se traîne lentement, il réfléchit vite.

La réussite du roman réside dans la manière de faire rimer horreur et humanité, folie et banalité.

Jonquet ne m'a pas tout à fait mener en bateau (sur le Styx) mais la fin m'a littéralement scié!
Commenter  J’apprécie          410



Ont apprécié cette critique (37)voir plus




{* *}