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Critique de Pommesucre
Déjà, je suis une grande amoureuse de la collection Darkiss. Beaucoup s'arrêtent au fait que Darkiss est une collection Young-Adult d'Harlequin. A ces personnes hésitantes, j'ai envie de dire qu'il ne faut pas confondre romans à l'eau de rose et romans jeunesse trempant de manière brillante dans le fantastique. Je peux encore ajouter de foncer, ils valent vraiment le détour. J'ai rarement, voir pas encore été déçue par leurs livres.
Meghan Chase est une jeune lycéenne qui vient d'avoir 16 ans. Elle est de ces élèves à qui on accorde pas d'importance car elle est classée "ringarde" par les autres. Sa mère n'a pas les moyens de s'acheter des vêtements à la mode. Mais heureusement elle a toujours su compter sur son meilleur ami Robin Goodfellow. Mais le lendemain de son 16ème anniversaire, elle subit une humiliation publique de la part d'une élève populaire pour qui elle avait un faible. C'est aussi cette journée qu'elle voit certaines choses qu'elle classe comme bizarre, sans pour autant y prêter l'attention que ces manifestations "méritent". Au retour de cette journée plutôt humiliante, sa mère est à terre et dans les vap' et son frère ne semble pas être dans son état normal, pas lui même. Et pour cause, ce n'est pas lui. Apparemment, il a été enlevé. Après une révélation fracassante de Robin sur l'existence de la féerie et de sa nature, il l'emmène chercher son frère en féerie. C'est là que tout commence pour Meghan.
Je me demande vraiment pourquoi j'ai eu du mal à plonger dans le livre et son univers. Car c'est vraiment le genre d'univers qui me va à merveille. Je vais mettre ça sur le coup de mou qui a certainement bon dos. Après ce coup de mou, je me suis que mieux replongée dans cet univers sombre et magique à la fois. Ici la féerie n'a rien d'un monde tout rose et tout gentil que l'on rencontre dans nos contes d'enfance. Ce monde est divisé en deux cour : la cour d'été et la cour d'hiver. Ces deux cours survivent grâces aux personnes qui rêvent, qui lisent ou qui forment les personnages. Cependant, un mal les ronge et fragilise cet équilibre de paix déjà précaire. L'aspect féerie de ce monde sombre, précaire et en danger m'a énormément plu et j'ai littéralement été transportée. L'univers Tim Burtonnien regorge de références qu'on ne peut nier, même avec la meilleure volonté au monde. Plus l'histoire se poursuit, plus on est transporté par l'intrique et les descriptions féeriques.
Cette saga nous envoie déjà un message très claire dans ce premier tome, à savoir que ce n'est pas parce que l'on grandit qu'il faut oublier son coeur de mioche et ne plus rêver.
L'atout majeur de cette saga est bien sûr Ash Meghan, mi-humaine mi-fée, elle est violemment confrontée à sa véritable nature et fais régulièrement fi des conseil qui lui sont donnés en faisant confiance à des êtres qui ne voit en elle qu'un objet de manipulation. Elle n'a qu'une idée en tête : ramener son frère. J'ai énormément apprécié son évolution et son implication dans tout ce qu'elle entreprenait. Forte, têtue et courageuse, voilà trois adjectifs qui me viennent en tête pour décrire notre héroïne.
Ce que j'ai également aimé c'est qu'aucun des personnages secondaires ne sont délaissés pour faire entièrement place à Meghan, ce qui est vraiment appréciable.
En mettant de côté le fait que j'ai pataugé dans le début de la lecture, l'auteur m'a ramené en enfance le temps de la lecture. Les détails sortis de la plume de Julie Kagawa étaient justes et envoûtants. Comme dit la quatrième de couverture "Un Alice au pays des maléfices", je n'aurais pas dit mieux. Ajoutons à cela au fait que l'auteur nous emmène au loin au travers de sa plume, mixons le tout et cela donne un cocktail addictif. le genre de livre qui fait de nous un ou une mordue de contes de fées. Foncez, le lire, ne tardez plus !!!
Lien : http://bulledepomme.blogspot..
Meghan Chase est une jeune lycéenne qui vient d'avoir 16 ans. Elle est de ces élèves à qui on accorde pas d'importance car elle est classée "ringarde" par les autres. Sa mère n'a pas les moyens de s'acheter des vêtements à la mode. Mais heureusement elle a toujours su compter sur son meilleur ami Robin Goodfellow. Mais le lendemain de son 16ème anniversaire, elle subit une humiliation publique de la part d'une élève populaire pour qui elle avait un faible. C'est aussi cette journée qu'elle voit certaines choses qu'elle classe comme bizarre, sans pour autant y prêter l'attention que ces manifestations "méritent". Au retour de cette journée plutôt humiliante, sa mère est à terre et dans les vap' et son frère ne semble pas être dans son état normal, pas lui même. Et pour cause, ce n'est pas lui. Apparemment, il a été enlevé. Après une révélation fracassante de Robin sur l'existence de la féerie et de sa nature, il l'emmène chercher son frère en féerie. C'est là que tout commence pour Meghan.
Je me demande vraiment pourquoi j'ai eu du mal à plonger dans le livre et son univers. Car c'est vraiment le genre d'univers qui me va à merveille. Je vais mettre ça sur le coup de mou qui a certainement bon dos. Après ce coup de mou, je me suis que mieux replongée dans cet univers sombre et magique à la fois. Ici la féerie n'a rien d'un monde tout rose et tout gentil que l'on rencontre dans nos contes d'enfance. Ce monde est divisé en deux cour : la cour d'été et la cour d'hiver. Ces deux cours survivent grâces aux personnes qui rêvent, qui lisent ou qui forment les personnages. Cependant, un mal les ronge et fragilise cet équilibre de paix déjà précaire. L'aspect féerie de ce monde sombre, précaire et en danger m'a énormément plu et j'ai littéralement été transportée. L'univers Tim Burtonnien regorge de références qu'on ne peut nier, même avec la meilleure volonté au monde. Plus l'histoire se poursuit, plus on est transporté par l'intrique et les descriptions féeriques.
Cette saga nous envoie déjà un message très claire dans ce premier tome, à savoir que ce n'est pas parce que l'on grandit qu'il faut oublier son coeur de mioche et ne plus rêver.
L'atout majeur de cette saga est bien sûr Ash Meghan, mi-humaine mi-fée, elle est violemment confrontée à sa véritable nature et fais régulièrement fi des conseil qui lui sont donnés en faisant confiance à des êtres qui ne voit en elle qu'un objet de manipulation. Elle n'a qu'une idée en tête : ramener son frère. J'ai énormément apprécié son évolution et son implication dans tout ce qu'elle entreprenait. Forte, têtue et courageuse, voilà trois adjectifs qui me viennent en tête pour décrire notre héroïne.
Ce que j'ai également aimé c'est qu'aucun des personnages secondaires ne sont délaissés pour faire entièrement place à Meghan, ce qui est vraiment appréciable.
En mettant de côté le fait que j'ai pataugé dans le début de la lecture, l'auteur m'a ramené en enfance le temps de la lecture. Les détails sortis de la plume de Julie Kagawa étaient justes et envoûtants. Comme dit la quatrième de couverture "Un Alice au pays des maléfices", je n'aurais pas dit mieux. Ajoutons à cela au fait que l'auteur nous emmène au loin au travers de sa plume, mixons le tout et cela donne un cocktail addictif. le genre de livre qui fait de nous un ou une mordue de contes de fées. Foncez, le lire, ne tardez plus !!!
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