Ce roman oxymorique est aussi douloureux que poétique, allégorie de la neige douce et mortelle. Derrière l'errance, le réalisme magique et l'onirisme albescent se cachent le sang, la craie des os et des cauchemars, la violence du passé coréen, les tortures et les corps abandonnés aux vagues ou aux mines aveugles. Sans tout comprendre, le lecteur déambule lentement dans la nuit blanche étoilée de flocons (plus de détails : https://pamolico.wordpress.com/2023/09/25/
impossibles-adieux-han-kang/)
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