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Critique de MIP
Toutes mes félicitations aux scénaristes qui ont écrit Out of Africa, ce magnifique film que j'adore regarder. La beauté des images, la beauté des sentiments, le romantisme à son comble. Toutes mes félicitations à eux pour avoir imaginé ce film. Imaginer car ce n'est pas une adaptation ou alors très libre de ce livre.
Il n'y a rien dans ce livre qui rappelle les émotions que l'on peut éprouver avec le film. Karen Blixen parle de sa ferme en terme comptable, de Denys en ami, pas de vol au-dessus du lac en se tenant la main. le livre ne parle pas du mari de Karen Blixen, de leur arrangement, des liens de Berkeley Cole avec une Somalie. Il y a Farah bien sûr mais en tant que fidèle et dévoué serviteur sans la scène finale de l'adieu sur le quai. Seule la lettre de Gustave Mohr indiquant que des lions viennent sur la tombe de Denys est reprise assez fidèlement dans le film mais en page 471.
Alors le livre en lui-même a perdu toute sa saveur espérée. Je tournais les pages en espérant mais il n'y a pas eu de lumière. le livre est terne, sans émotion. Quelle déception. Je ne m'attendais pas à cela !
Il n'y a rien dans ce livre qui rappelle les émotions que l'on peut éprouver avec le film. Karen Blixen parle de sa ferme en terme comptable, de Denys en ami, pas de vol au-dessus du lac en se tenant la main. le livre ne parle pas du mari de Karen Blixen, de leur arrangement, des liens de Berkeley Cole avec une Somalie. Il y a Farah bien sûr mais en tant que fidèle et dévoué serviteur sans la scène finale de l'adieu sur le quai. Seule la lettre de Gustave Mohr indiquant que des lions viennent sur la tombe de Denys est reprise assez fidèlement dans le film mais en page 471.
Alors le livre en lui-même a perdu toute sa saveur espérée. Je tournais les pages en espérant mais il n'y a pas eu de lumière. le livre est terne, sans émotion. Quelle déception. Je ne m'attendais pas à cela !
