>
Critique de Ashallayne
C'est le deuxième roman de Gabriel Katz que lis, et je suis plutôt déçue.
On suit Kaelyn, une jeune femme qui s'enrôle dans l'armée pour abolir l'esclavage dans un autre pays où vivent des cannibales, des barbares (soi-disant).
Manque de bol, elle se fait capturer dès les premiers chapitre et devient esclave dans le camp adverse.
La première moitié du roman me plaisait assez, si on fait abstraction de la misogynie permanente et des clichés.
Toutefois, passée la moitié du roman, je me suis ennuyée. Les actions s'enchaînent, mais on perd le fil directeur. Les dialogues sont creux, plats, barbants. Certains faits manquent de cohérence et de logique. Les personnages ne sont pas attachants, on reste très en surface.
On me l'avait vendu comme le roman de Gabriel Katz destiné à redorer le blason féminin, mais entre les clichés des épouses oisives et entièrement désintéressées du sort de leur pays (et donc du leur), celui des mâles sans aucune considération pour les femelles (on est biiiien loin de l'égalité des sexes. C'est pénible de voir que le seul à défendre le respect des femmes, et encore, c'est Hadrian), le cliché de la femme jalouse et cruelle, et ceux des méchants sans cervelle... Ras-le-bol.
Je suis contente de ne pas avoir découvert l'auteur avec ce livre-ci, je serais passée à côté du puits des mémoires (et d'Aeternia, mais bon, je ne l'ai pas encore lu, honte à moi !).
On suit Kaelyn, une jeune femme qui s'enrôle dans l'armée pour abolir l'esclavage dans un autre pays où vivent des cannibales, des barbares (soi-disant).
Manque de bol, elle se fait capturer dès les premiers chapitre et devient esclave dans le camp adverse.
La première moitié du roman me plaisait assez, si on fait abstraction de la misogynie permanente et des clichés.
Toutefois, passée la moitié du roman, je me suis ennuyée. Les actions s'enchaînent, mais on perd le fil directeur. Les dialogues sont creux, plats, barbants. Certains faits manquent de cohérence et de logique. Les personnages ne sont pas attachants, on reste très en surface.
On me l'avait vendu comme le roman de Gabriel Katz destiné à redorer le blason féminin, mais entre les clichés des épouses oisives et entièrement désintéressées du sort de leur pays (et donc du leur), celui des mâles sans aucune considération pour les femelles (on est biiiien loin de l'égalité des sexes. C'est pénible de voir que le seul à défendre le respect des femmes, et encore, c'est Hadrian), le cliché de la femme jalouse et cruelle, et ceux des méchants sans cervelle... Ras-le-bol.
Je suis contente de ne pas avoir découvert l'auteur avec ce livre-ci, je serais passée à côté du puits des mémoires (et d'Aeternia, mais bon, je ne l'ai pas encore lu, honte à moi !).
