Le japonais dispose par ailleurs de nombreuses onomatopées et de nombreux mots mimétiques servant à exprimer toutes sortes de phénomènes, sonores ou non.
La "sarasara" de la rivière qui coule, le "vyûvyû' du vent qui souffle, le "shinshin" de la neige qui tome, le "kankan" du soleil qui brille : autant de mots servant à décrire le monde qui nous entoure.
P 89 : Pour devenir le meilleur, il faut côtoyer les meilleurs.
P 193 : S'il est des choses dont on ne peut parler qu'avec des proches, il en est d'autres, à l'inverse, qu'on ne peut confier qu'a de parfaits inconnus.
Peu de choses rendent les gens aussi heureux que l'arrivée du printemps après un hiver rigoureux.
La venue de la nouvelle saison ne se fait pas du jour au lendemain, cependant, et l'on ne saurait dire quelles dates, exactement, marquent la fin de l'hiver et le début du printemps.
Le printemps se cache, tapi au cœur de l'hiver. L'homme détecte sa présence par la vue, le toucher et les autres sens. Il le déniche dans la pousse des bourgeons, la douceur de la brise, la chaleur du soleil.
Le printemps accompagne l'hiver...
Faire le deuil d'un défunt, c'est perpétuer son souvenir.
Pour un parent, son enfant reste toujours son enfant. Elle n'était qu'une mère qui avait toujours souhaité le bonheur de son fils et l'avait abreuvé de son amour, sans jamais rien demander en retour.
On ne connaît jamais vraiment le cœur des gens. Et lorsque l'on est dans la tourmente, on en vient même à ignorer les sentiments des personnes qui vous sont chères.
Il n'est pas de plus grande souffrance pour un parent que de ne pouvoir sauver son enfant qui souhaite mourir.
L'amour d'une mère pour son enfant ne connaît pas de bornes. Et quel que soit son âge, un enfant reste un enfant aux yeux de ses parents.
C’est aussi agréable que d’être enveloppé par les rayons du soleil printanier…, songea-t-il.
Je dois vivre...quoi qu'il arrive...Pour ma mère qui n'a cessé de souhaiter mon bonheur,jusque dans ses derniers instants