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Critique de Colibrille
Alors que l'intrigue s'annonçait prometteuse, elle se révèle hélas prévisible et s'essouffle donc rapidement. Pour tout dire, j'espérais que l'auteure développe son intrigue d'une tout autre manière, bien plus surprenante.
En lisant la quatrième de couverture, j'avais été séduite par l'idée de ces rêves "partagés" unissant deux personnes qui ne se sont jamais rencontrées. Malheureusement, ces rêves se révèlent inintéressants au possible. A la limite, on pourrait dire qu'ils sont sympathiquement loufoques, si l'on arrive à faire abstraction de la romance, mielleuse à souhait... Alors que cette intrigue autour des rêves aurait pu être sérieusement développée sur le plan scientifique ou fantastique, on reste trop en surface. Il n'y a que peu d'analyse psychologique. Dans "Dreamology", les rêves ne sont hélas qu'un prétexte pour raconter une énième romance adolescente plutôt fade.
L'explication concernant les rêves communs des deux personnages principaux (élément crucial sur lequel repose l'intrigue) est traité de manière beaucoup trop rapide et peu crédible. J'ai eu le sentiment que l'auteure n'avait pas poussé sa réflexion très loin pour proposer une solution au mystère des rêves que partagent ses personnages. Le dénouement est décevant tant il manque d'imagination.
Si l'intrigue m'a si peu convaincue, c'est aussi parce que je ne me suis pas du tout identifiée aux personnages, trop "américains" dans le sens où ils sont exagérés et un brin superficiels. Les deux personnages principaux sont l'exact et désolant cliché des pauvres gosses de riches délaissés par leurs parents.
Alice déménage dans une maison bourgeoise de quatre étages, possède un dressing immense et des fringues de marques, son père est plus qu'aisé, elle va dans une fac de renom... et l'auteure voudrait qu'on plaigne la pauvre petite Alice, blasée de tout ? Désolé mais ça ne prend pas avec moi. Réflexion faite, l'ensemble des personnages sont très "américains" : tout le monde est beau, riche, amoureux. Vraiment pas mon truc...
En lisant la quatrième de couverture, j'avais été séduite par l'idée de ces rêves "partagés" unissant deux personnes qui ne se sont jamais rencontrées. Malheureusement, ces rêves se révèlent inintéressants au possible. A la limite, on pourrait dire qu'ils sont sympathiquement loufoques, si l'on arrive à faire abstraction de la romance, mielleuse à souhait... Alors que cette intrigue autour des rêves aurait pu être sérieusement développée sur le plan scientifique ou fantastique, on reste trop en surface. Il n'y a que peu d'analyse psychologique. Dans "Dreamology", les rêves ne sont hélas qu'un prétexte pour raconter une énième romance adolescente plutôt fade.
L'explication concernant les rêves communs des deux personnages principaux (élément crucial sur lequel repose l'intrigue) est traité de manière beaucoup trop rapide et peu crédible. J'ai eu le sentiment que l'auteure n'avait pas poussé sa réflexion très loin pour proposer une solution au mystère des rêves que partagent ses personnages. Le dénouement est décevant tant il manque d'imagination.
Si l'intrigue m'a si peu convaincue, c'est aussi parce que je ne me suis pas du tout identifiée aux personnages, trop "américains" dans le sens où ils sont exagérés et un brin superficiels. Les deux personnages principaux sont l'exact et désolant cliché des pauvres gosses de riches délaissés par leurs parents.
Alice déménage dans une maison bourgeoise de quatre étages, possède un dressing immense et des fringues de marques, son père est plus qu'aisé, elle va dans une fac de renom... et l'auteure voudrait qu'on plaigne la pauvre petite Alice, blasée de tout ? Désolé mais ça ne prend pas avec moi. Réflexion faite, l'ensemble des personnages sont très "américains" : tout le monde est beau, riche, amoureux. Vraiment pas mon truc...
