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Citations sur L'Imitation de Jésus-Christ (116)

Tous désirent la paix; mais tous ne cherchent pas ce qui procure une paix véritable.
Ma paix est avec ceux qui sont doux et humbles de cœur. Votre paix sera dans une grande patience.
Si vous m'écoutez et si vous obéissez à ma parole, vous jouirez d'une profonde paix.
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Envoyez votre lumière et votre vérité pour qu'elles luisent sur la terre; car je ne suis qu'une terre stérile et ténébreuse jusqu'à ce que vous m'éclairiez.
Répandez votre grâce d'en haut, versez sur mon cœur la rosée céleste, épanchez sur cette terre aride les eaux fécondes de la piété, afin qu'elle produise des fruits bons et salutaires.
Relevez mon âme abattue sous le poids de ses péchés, transportez tous mes désirs au ciel, afin qu'ayant trempé mes lèvres à la source des biens éternels, je ne puisse plus sans dégoût penser aux choses de la terre.
Enlevez-moi, détachez-moi de toutes les fugitives consolations des créatures, car nul objet créé ne peut satisfaire ni rassasier pleinement mon cœur.
Unissez-moi à vous par l'indissoluble lien de l'amour, car vous suffisez seul à celui qui vous aime, et tout le reste sans vous n'est rien.
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Oh ! quelles grâces ne dois-je pas vous rendre, de ce que vous avez daigné me montrer, et à tous les fidèles, la voie droite et sûre qui conduit à votre royaume éternel !
Car votre vie est notre voie et par une sainte patience, nous marchons vers vous, qui êtes notre couronne.
Si vous ne nous aviez précédés et instruits, qui songerait à vous suivre ?
Hélas ! combien resteraient en arrière, et bien loin, s'ils n'avaient sous les yeux vos exemples sacrés !
Après tant de miracles et d'instructions, nous sommes encore tièdes; que serait-ce si tant de lumières ne nous guidait sur vos traces !
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Ô source d'amour éternel, que dirai-je de vous ?
Comment pourrai-je vous oublier, vous qui avez daigné vous souvenir de moi lorsque, déjà épuisé, consumé, je penchais vers la mort ?
Votre miséricorde envers votre serviteur a passé toute espérance, et vous avez répandu sur lui votre grâce et votre amour bien au-delà de tout ce qu'il pouvait mériter.
Que vous rendrai-je pour une telle faveur ? car il n'est pas donné à tous de tout quitter, de renoncer au siècle pour embrasser la vie religieuse.
Est-ce faire beaucoup que de vous servir, vous que doivent servir toutes les créatures ?
Cela doit me sembler peu de chose; mais ce qui me paraît grand et merveilleux, c'est que vous daigniez agréer le service d'une créature si pauvre et si misérable, et l'admettre parmi les serviteurs que vous aimez.
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Combattez comme un généreux soldat, et si quelquefois vous succombez par fragilité, reprenez un courage plus grand dans l'espérance d'être soutenu par une grâce plus forte; et gardez-vous surtout de la vaine complaisance et de l'orgueil.
C'est ainsi que plusieurs s'égarent et tombent dans un aveuglement presque incurable.
Que la chute de ces superbes qui présumaient follement d'eux-mêmes vous soit une leçon continuelle de vigilance et d'humilité.
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Que rien de ce que vous faites ne vous paraisse donc quelque chose de grand.
Mais plutôt qu'à vos yeux rien ne soit grand, précieux, admirable, élevé, digne d'être estimé, loué, recherché, que ce qui est éternel.
Aimez par-dessus toutes choses l'éternelle vérité, et n'ayez jamais que du mépris pour votre extrême bassesse.
N'appréhendez rien tant, ne blâmez et ne fuyez rien tant que vos péchés et vos vices. Ils doivent vous affliger plus que toutes les pertes du monde.
Il y en a qui ne marchent pas devant moi avec un cœur sincère; mais guidés par une certaine curiosité présomptueuse, ils veulent découvrir mes secrets et pénétrer les profondeurs de Dieu, tandis qu'ils négligent de s'occuper d'eux-mêmes et de leur salut.
Ceux-là tombent souvent, à cause de leur orgueil et de leur curiosité, en de grandes fautes, parce que je m'oppose à eux.
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Le royaume de Dieu est au dedans de vous, dit le Seigneur.
Revenez à Dieu de tout votre cœur, laissez là ce misérable monde, et votre âme trouvera le repos.
Apprenez à mépriser les choses extérieures et à vous donner aux intérieures, et vous verrez le royaume de Dieu venir en vous.
Car le royaume de Dieu est paix et joie dans l'Esprit Saint, ce qui n'est pas donné aux impies.
Jésus-Christ viendra à vous et il vous remplira de ses consolations, si vous lui préparez au-dedans de vous une demeure digne de lui.
Toute sa gloire et toute sa beauté est intérieure; c'est dans le secret du cœur qu'il se plaît.
Il visite souvent l'homme intérieur et ses entretiens sont doux, ses consolations ravissantes; sa paix est inépuisable, et sa familiarité incompréhensible.
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Quand un homme en est venu à ne chercher sa consolation dans aucune créature, c'est alors qu'il commence à goûter Dieu parfaitement, et qu'il est, quoiqu'il arrive, toujours satisfait.
Alors il ne se réjouit d'aucune prospérité et aucun revers ne le contriste; mais il s'abandonne tout entier, avec une pleine confiance, à Dieu qui lui est tout en toutes choses, pour qui rien ne périt, rien ne meurt, pour qui au contraire tout vit, et à qui tout obéit sans délai.
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O cœurs insensés et infidèles, si profondément enfoncés dans les choses de la terre qu'ils ne goûtent rien que ce qui est charnel !
Les malheureux ! ils sentiront douloureusement à la fin combien était vil, combien n'était rien ce qu'ils ont aimé.
Mais les saints de Dieu, tous les fidèles amis de Jésus-Christ ont méprisé ce qui flatte la chair et ce qui brille dans le temps; toute leur espérance, tous leurs désirs aspiraient aux biens éternels.
Tout leur cœur s'élevait vers les biens invisibles et impérissables, de peur que l'amour des choses visibles ne les abaissât vers la terre.
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Car l'homme intérieur est en ce monde étrangement appesanti par les nécessités du corps.
Et c'est pourquoi le prophète demandait avec d'ardentes prières d'en être affranchi, disant: Seigneur, délivrez-moi de mes nécessités.
Malheur donc à ceux qui ne connaissent point leur misère ! et malheur encore plus à ceux qui aiment cette misère et cette vie périssable !
Car il y en a qui l'embrassent si avidement, leur misère, qu'ayant à peine le nécessaire en travaillant ou en mendiant, ils n'éprouveraient aucun souci du royaume de Dieu s'ils pouvaient toujours vivre ici-bas.
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