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Critique de NathalieBC


J'avais bien aimé Les Désarrois de Ned Allen et adoré le Charme discret de la vie conjugale mais là, quel ennui ! Je ne sais même par où commencer la critique. Peut-être par un aveu: je n'ai pas fini ce premier opus. J'ai arrêté à 64%. Depuis le début j'attends qu'il se passe quelque chose; je lis; je lis mais... rien. Au départ, Alice est au lycée. Ex New-yorkaise, elle se morfond à la "campagne" entre une mère juive abusive (pléonasme ou gros cliché), branchée et citadine dans l'âme, et un père irlandais catholique, républicain et forcément facho (et alcoolique). le début est presque intéressant car une camarade de classe disparaît après des mois de harcèlement moral au lycée. Aucune trace. Elle s'est volatilisée. Les mois passent et Alice va à l'université et là, on se tape, pendant au moins 200 pages, des descriptions aussi inintéressantes qu'agaçantes sur les fraternités, les hippies, leurs fringues crasseuses, leurs joints et leur sectarisme caché derrière le paravent de la bienpensance. le personnage d'Alice (censé incarner Douglas Kennedy imself) est un mélange de naïveté confondante et de pédanterie. N'y tenant plus, j'ai interpellé une proche qui a lu la trilogie: "Dis-donc, il va finir par se passer quelque chose dans la Symphonie du hasard ? On va finir par savoir ce qui est arrivé à la copine ou j'arrête de lire ? - Ben non; c'est comme ça pendant les trois tomes (oh, misère !) et Oui, on sait ce qui est arrivé à cette fille." Bon ben j'ai préféré qu'elle me spoile et passer à autre chose. Il y a trop d'excellents romans à lire pour ne pas perdre son temps avec des daubes.
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