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Critique de AliceFee


Mlle Alice, pouvez-vous nous raconter votre rencontre avec Les Oracles ?
"J'ai adoré le Festin de Margaret Kennedy, réédité aux éditions de la Table Ronde et j'ai eu un avis beaucoup plus mitigé sur le suivant, Divorce à l'Anglaise. J'avais hâte de savoir si celui-ci pencherait plutôt du côté du premier ou du second."

Dites-nous en un peu plus sur son histoire...
"Alors qu'un violent orage a secoué la petite ville de Summersdown sans faire de gros dégâts, il se pourrait bien que ses répercussions n'aillent finalement bien plus loin que l'on a pu le penser au premier abord..."

Mais que s'est-il exactement passé entre vous ?
"Je ne vais pas faire durer le suspense éternellement, je dirais que cette lecture se situe parfaitement au croisement des deux autres. Je n'ai pas eu de coup de coeur mais j'ai bien aimé tout de même. C'est un petit peu long à démarrer et à se mettre en place et une partie de l'histoire, celle des enfants, est indéniablement plus interessante que le reste. On y retrouve une vision assez pessimiste du couple que l'on commence à reconnaître chez Margaret Kennedy, une connaissance certaine de la nature humaine et humour noir que j'apprécie beaucoup. Il est peut-être plus léger que dans Le Festin mais cette histoire de sculpture est quand même d'une ironie mordante. J'aurais aimé qu'elle finisse avec plus d'éclat et que le roman se termine sans amertume mais cela n'en rend le récit que plus réaliste. Si l'expérience ne fut pas du tout désagréable donc, je ne suis pas certaine pour autant que cette lecture me marquera durablement."

Et comment cela s'est-il fini ?
"Je reste curieuse de découvrir le reste de l'oeuvre de Margaret Kennedy et de savoir quel texte choisira de nous proposer la maison d'édition la prochaine fois mais mon engouement du début commence peut-être à s'essouffler un peu."
Lien : http://booksaremywonderland...
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