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Critique de ClemenceLebovic


Peut être encore plus que La mort entre autre, Une douce flamme est glaçant. A travers l'histoire de Bernie Gunther notre privé miteux qui se retrouve dans la dictature Argentine de Peron et de son immigration massive "d'anciens camarades". On y perds nos dernières illusions avec lui. Philip Kerr rendait à merveille le passage des années sur son personnage. Il y règle ses comptes avec sa conscience et les anciens SS et toujours nazi qu'il est amené à croiser.
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