Des années après la tragédie qui a quasiment détruit
Chamberlain, dans le Maine USA,
Susan Snell, alias Sue, revient sur les faits.
Carrie, c'est
Carrietta White, une élève parmi d'autres du collège de la ville. Une élève parmi d'autres, à ceci près qu'elle est le souffre douleur de ses camarades depuis des années : dotée d'un physique plutôt ingrat, et élevée par sa mère fondamentaliste qui ne lui apprend rien de la vie, elle est la proie de multiples humiliations…
Jusqu'au jour de ses premières règles en cours d'éducation physique… Ignorante de ces choses du fait de son éducation religieuse, elle sera la risée de ses collègues alors que le grand bal de la promotion s'approche. Elle retrouvera alors les dons de psychokinèse qu ‘elle s'était découverts enfant et qu'elle croyait à jamais perdus…
Sa vengeance sera terrible : un vrai désastre…
Carrie est publié chez Gallimard en 1976 et adapté au cinéma par
Brian de Palma la même année. Je vous lasse imaginer le choc, quand après avoir vu « le fantôme du Paradis », du même
Brian de Palma en 1974, on enchaîne avec
Carrie… Plus qu'un choc…
On l'aura remarqué, il m'est bien difficile de séparer le livre «
Carrie » de son adaptation au cinéma, «
Carrie au bal du Diable »…En fait j'ai longtemps ignoré que le film était tiré du premier livre de Stefen King. Il aura fallu compter avec le hasard d'une découverte quelques années plus tard, chez un bouquiniste.
Le film et le livre, en tous points remarquables…