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Critique de Varaha
Ça y est, j'ai trouvé le livre pour l'item « u livre dont le titre se résume à un seul mot » ! Et en plus c'est un Stephen King, auteur que j'apprécie.
De nouveau un livre dont il est difficile de se détacher. King écrit bien, et son style progresse avec l'évolution de ses personnages.
« J'allais sur mes cinquante-deux ans, l'âge, à quelques années près, où les fringants jeunes premiers commencent leur inévitable métamorphose en vieux boucs débraillés. »
On découvre le héros enfant et on le suit au fur et à mesure de sa croissance et des difficultés qu'il rencontre, et le style et le vocabulaire évoluent en parallèle avec le narrateur.
Globalement, le récit est centré sur deux personnages : un jeune homme, traversant toutes sortes d'expériences, constructives ou non, au cours de sa jeunesse où il évolue dans le milieu musical.
« Jouer était une chose à part entière, une vérité émotionnelle. Jouer me redonnait le sentiment d'être quelqu'un de réel. »
« Je trouve ridicule de mettre des gens en prison parce qu'ils ont fumé de l'herbe mais il ne fait aucun doute dans mon esprit qu'en usage quotidien prolongé, c'est la recette idéale pour les PTM, les Putains de Trous de Mémoire. »
Et un pasteur, qui traverse également des épreuves plus que difficiles.
« Patsy ne peut pas être morte, dit-il d'un ton patient et sentencieux. On est mercredi. Et Mercredi, c'est Jour des Princes Spaghetti, comme dit Morrie. »
« le révérends Jacobs a eu raison sur un point : les gens veulent toujours trouver une raison aux malheurs de la vie. Des fois il n'y en a pas. »
La passion qui les rassemble est l'électricité, de ses débuts à ce qu'on en sait à l'heure actuelle. Cette énergie a tellement de pouvoir et de place dans le roman qu'on peut presque la considérer comme un personnage à part entière.
« Exactement, approuva-t-il en souriant. Révérend Charles D. Jacobs, actuellement premier prélat de la Première Église de l'Électricité. »
L'intrigue est bien pensée, mais stagne un peu à certains moments, où je me suis sentie un peu frustrée. On se demande où l'auteur veut finalement en venir.
L'histoire est fantastique, nous sommes d'accord, mais je dois avouer que je m'attendais à quelque chose d'un peu plus trash venant de cet auteur...
« C'est ainsi que l'on attire sa propre damnation, savez-vous : en ignorant la voix qui nous implore d'arrêter. D'arrêter tant qu'il est encore temps. »
Tenue en haleine tout au long du récit, j'ai été un peu déçue par la simplicité et la rapidité de la chute.
« N'est pas mort ce qui à jamais dort, Et au fil des âges peut mourir même la mort. »
De nouveau un livre dont il est difficile de se détacher. King écrit bien, et son style progresse avec l'évolution de ses personnages.
« J'allais sur mes cinquante-deux ans, l'âge, à quelques années près, où les fringants jeunes premiers commencent leur inévitable métamorphose en vieux boucs débraillés. »
On découvre le héros enfant et on le suit au fur et à mesure de sa croissance et des difficultés qu'il rencontre, et le style et le vocabulaire évoluent en parallèle avec le narrateur.
Globalement, le récit est centré sur deux personnages : un jeune homme, traversant toutes sortes d'expériences, constructives ou non, au cours de sa jeunesse où il évolue dans le milieu musical.
« Jouer était une chose à part entière, une vérité émotionnelle. Jouer me redonnait le sentiment d'être quelqu'un de réel. »
« Je trouve ridicule de mettre des gens en prison parce qu'ils ont fumé de l'herbe mais il ne fait aucun doute dans mon esprit qu'en usage quotidien prolongé, c'est la recette idéale pour les PTM, les Putains de Trous de Mémoire. »
Et un pasteur, qui traverse également des épreuves plus que difficiles.
« Patsy ne peut pas être morte, dit-il d'un ton patient et sentencieux. On est mercredi. Et Mercredi, c'est Jour des Princes Spaghetti, comme dit Morrie. »
« le révérends Jacobs a eu raison sur un point : les gens veulent toujours trouver une raison aux malheurs de la vie. Des fois il n'y en a pas. »
La passion qui les rassemble est l'électricité, de ses débuts à ce qu'on en sait à l'heure actuelle. Cette énergie a tellement de pouvoir et de place dans le roman qu'on peut presque la considérer comme un personnage à part entière.
« Exactement, approuva-t-il en souriant. Révérend Charles D. Jacobs, actuellement premier prélat de la Première Église de l'Électricité. »
L'intrigue est bien pensée, mais stagne un peu à certains moments, où je me suis sentie un peu frustrée. On se demande où l'auteur veut finalement en venir.
L'histoire est fantastique, nous sommes d'accord, mais je dois avouer que je m'attendais à quelque chose d'un peu plus trash venant de cet auteur...
« C'est ainsi que l'on attire sa propre damnation, savez-vous : en ignorant la voix qui nous implore d'arrêter. D'arrêter tant qu'il est encore temps. »
Tenue en haleine tout au long du récit, j'ai été un peu déçue par la simplicité et la rapidité de la chute.
« N'est pas mort ce qui à jamais dort, Et au fil des âges peut mourir même la mort. »
