Brit, tome 2 : Déserteur

BRITNEY : Pour un œil, les deux yeux. Pour une dent, toute la gueule !

BENT FRANKLIN : Je t’ai tiré dessus à bout portant façon John Woo. Ce canon, c’est ce qui se fait de mieux en matière de lavage de cerveau. Tu devrais être aux fraises, là. J’ai oublié le supplément chantilly ou quoi ?

SLITTER : Tu as cassé le pelvis de l’ambassadeur.
BRITNEY : Quand je dis non, c’est non. J’assurais sa sécurité, pas ses massages privés. Mais bon…

BRITNEY : A ce propos, tu ne voudrais pas mettre un froc ? On dirait Donald Duck façon Giger. Ça me fout les chocottes.
DONALD : Désolé. Je ne me sens nu que si j’ai de la peau. Saviez-vous que le tissu de votre costume est un prototype de mon polymère épidermique ? C’est comme si vous portiez un cousin à moi.
BRITNEY : J’adore.

DONALD : En fait, je suis l’un des employés qui ont besoin d’une révision mensuelle et d’un examen psy. J’ai droit à ma propre ligne budgétaire.

DONALD : Le premier QG secret de l’état, transformé en banquise sous sa responsabilité. Il a suicidé sa carrière.
BRITNEY : Va pas croire ça. Les chats retombent toujours sur leurs pattes. Et Slitter, il atterrit sur le chat. Il est nul en stratégie, mais il a la peau dure.