Quand on fait ce genre de choses, et même si on reste des gens bien... ça reste des mauvaises choses…
Les fous sont désormais en liberté dans ce monde qui perd la tête.
Glenn (racontant l’histoire de Tyreese sous forme de blague) : On nettoyait le gymnase… ils étaient trop nombreux. Le gars, on croyait qu’il était mort. Après, on se repointe, et il nous sort « J’ai failli attendre ». Il les avait tués jusqu’au dernier !
J'avais... pas le choix. Je ne suis pas fort. J'ai pas une belle gueule.Je n'ai pas l'étoffe d'un chef. Je ne suis pas courageux. Je ne suis pas utile. Je ne suis bon qu'à deux choses. Je suis très intelligent. Et je mens bien. Qu'est-ce que j'aurais pu faire d'autre ?
Carl : Tout le monde fait comme si rien ne s’était passé. Ils sont tous nuls. Les rôdeurs sont toujours là même si on ne les voit plus. Je déteste cet endroit, P’pa. Il est bidon. Comme si tout le monde faisait semblant. […] Et quand on va partir ? Je veux pas m’habituer à ça… On va devenir faibles. Je ne veux pas mourir.
Douglas (en regardant le moignon de Rick) : Vous pourrez accomplir votre devoir malgré votre handicap ?
Rick : Tant qu’on me demande pas de boutonner ma chemise.
Andrea : Je vous suivrais jusqu’en enfer.
Rick : J’espère qu’on en est pas là.
J’avais… pas le choix. Je ne suis pas fort. J’ai pas une belle gueule. Je n’ai pas l’étoffe d’une chef. Je ne suis pas courageux. Je ne suis pas utile. Je ne suis bon qu’à deux choses. Je suis très intelligent. Et je mens bien. Qu’est-ce que j’aurais pu faire d’autre ? J’avais peur… tellement peur… Je suis désolé.
Quand ça a l’air trop beau pour être vrai… c’est souvent ce qui arrive.
Regarde-nous? Tu croiis vraiment qu'ils vont nous garder ici quand ils auront compris à quel point on est tarés? (p.116)