Walking Dead, tome 15 : Deuil et espoir

L'histoire est plutôt calme. Rick tente de se remettre de l'accident de Carl et organise de nouveaux plans pour Alexandria. Je dois vous avouer que Rick m'a étonné même si je ne suis pas surprise de la tournure des événements. Andréa est plus présente ainsi que Glenn. Malheureusement, je n'adhère pas à tout. J'ai du mal à voir où veulent en venir les auteurs. Calme, reposant mais jusqu'à quand.

La péripétie principale concernera un membre du groupe d'Alexandria qui tentera un coup. J'ai pensé que ce serait pas plus mal qu'une autre personne s'oppose mais, à une certaine planche, j'ai été déçu d'un personnage et j'ai bien l'impression que la prochaine intrigue pourrait venir de là. Mais, je ne l'espère pas.

La fin était, pour ma part, un peu trop prévisible et ça se sentait déjà depuis deux tomes. J'espère malgré tout que ça ne changera pas grand chose au sein de la communauté.

"Deuil & espoir" est plutôt calme et prévenant sur la situation du futur. Rick a compris certaines choses même s'il a du mal. Ce tome marque un arrêt/une pause dans les bagarres de pouvoirs, enfin presque ...
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Ce quinzième tome se déroule dans la nouvelle communauté où Rick devient malgré lui le chef. L'action se déroule sans presque aucune intervention contre des zombies. L'essentiel de l'histoire tournant autour de l'intégration du groupe de Rick dans la communauté.

L'histoire est toujours passionnante et nous découvrons des personnages s'enfonçant encore plus dans la dépression, l'indifférence, mais aussi l'envie de vivre, le choix de ne plus s'ennuyer avec des détails. La psychologie des personnages est ici l'atout principal de cette bande dessinée et ce tome se révèle comme étant l'un des meilleurs à ce niveau.

Le graphisme, toujours en noir et blanc, est pour une fois assez bien travaillé. Les personnages sont mieux représentés et surtout les traits ressortent mieux que d'habitude, aidant grandement l'ambiance morose de certains personnages.

Un quinzième tome intéressant qui donne à cette série, certes un énième album, de plus en plus de valeur.
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Très bon tome encore une fois. On sent que Rick veut maintenant appliquer un système plus durable de société et vraiment recréer ce qui a été perdu. Nous savons très bien que ce sera loin d'être facile mais avec tout ce que notre petit groupe de survivants à vécu au courant de cette série, ils sont de plus en plus forts, de plus en plus outillés à atteindre leur but. Avoir une ville sécuritaire autant face aux zombies que face aux étrangers voulant leur voler ce qu'ils ont acquis.

Bonne lecture à tous!

Après les tragédies du précédent tome, Kirkman fait redescendre la pression. Nos personnages peuvent souffler, et (tenter de) se remettre de leurs émotions, de leurs blessures.

Nos héros font leur deuil, et veulent avancer. Au-delà de l'envie de survivre, il y aussi, désormais, l'envie de construire quelque chose. On sent que Rick a envie d'y croire, et y croit réellement. La fin de ce quinzième tome est inattendue (à mes yeux, en tous cas), et m'a bien plu.

Seulement, les évènements heureux ne durent jamais bien longtemps dans Walking Dead...
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Sur un fond bleu, – ce qui fait ressortir le dessin – nous retrouvons une jeune femme la tête baissée plantant un sabre de ses deux mains dans une tombe.

Nous retrouvons les survivants là ou nous les avions laissés. Après moult déboires avec les zombies, ils se reconstruisent après la dévastation de leur lieu de vie et de la dissémination de leur communauté.
La tristesse reprend tout de suite dès que nous entrons dans ce tome et nous pouvons examiner les dégâts qu'ont infligés les zombies à notre groupe de survivants.
On se retrouve à suivre nos personnages dans leurs quotidien à la recherche de nourriture. Les deux groupes ont fort à faire. Les récentes attaques n'ont pas laissés nos personnages indemne et quelques uns deviennent fous, jusqu'à vouloir s'entre tuer. Nous retrouvons également le jeune personnage qui était bien mal en point à la fin du tome précédent. Il adviendra des choses assez étranges chez lui et nous avons encore plus de mal à le cerner.
La déception est assez grande car nous croyons retrouver à nouveau des zombies, mais au final cela est devenu bien calme et la nous vivons les tracas d'une communauté assez mal en point. La souffrance et le point le plus dominant de cette histoire et le désir de vengeance est terrifiant.
On retrouve également des histoire d'amour dont une que nous voyons arriver depuis deux tomes déjà pour notre plus grande satisfaction.
La fin est attendrissante mais cela vas-t-il continuer comme nous pouvons l'espérer ?



Est-ce que j'ai aimé ce livre ?


Ce tome est très bien construit mais il manque pour moi quelques zombies. Les chamboulements qu'ont eu les personnages de la communauté d'Alexandria sont spectaculaires et j'ai vu à quel point leur souffrance se laissait transparaître dans leur colère. Une soif de vengeance est omniprésente mais ils ne s'en prennent pas forcément aux bonnes personnes.
Pour moi le seul point négatif dans cette histoire, c'est le manque de morts-vivants, sinon je n'ai rien à dire, c'est une très bonne bande dessinée.
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Après l'invasion du camp par les zombies et la mort de nombreux personnages, le groupe panse ses plaies et tente d'organiser des défenses plus efficaces. Une ambiance plus calme propice aux états d'âme mais comme d'habitude, rien n'est simple. La nourriture manque, l'autorité de Rick est contestée et la pression constante est difficilement supportable pour certains. Pourtant, malgré les problèmes, chacun prend conscience que la cohésion du groupe est nécessaire à la survie. Un épisode qui porte bien son nom.

Ce tome est relativement tranquille. le calme après la tempête, avant sans doute une nouvelle tempête.
On se concentre sur certains personnages et sur certaines relations qui pourraient faire évoluer le cours de l'histoire notamment en remettant en cause certains acquis.

Un tome assez vide avec des thématiques que l'on a déjà vu dans la saga avant. Je ne l'ai pas trouvé très pertinent et même beaucoup répétitif. Mais bon, ça arrive parfois.

J'ai eu peur qu'ils utilisent ce qui est arrivé à Carl comme excuse pour faire machine arrière sur son personnage, mais ça va, ça reste quand même constant. J'ai été frustrée que ce ne soit pas développé plus que ça en revanche, ne serait-ce que la question du traumatisme qui reste traitée très à la surface.

J'espère que l'intrigue va progresser un peu dans la suite, j'ai l'impression qu'on stagne un peu depuis deux tomes.

Après le carnage du tome précédent, Robert Kirkman laisse un peu souffler les survivants de la communauté d'Alexandria, proposant ainsi un tome de transition au rythme plus lent. Ce moment de respiration, qui se concentre sur les conséquences de l'attaque des rôdeurs, permet d'établir un bilan des dégâts psychologiques subi par les personnages.

En entamant la lecture de ce quinzième tome, le lecteur a encore en mémoire cette double page choc, montrant Carl atteint par une balle perdue. L'auteur va donc également consacrer une grande partie de cet album au sort de Carl, tout en s'intéressant d'un peu plus près à la relation père/fils entre Rick et Carl.

Si le lecteur voulait absolument en savoir plus sur le sort de Carl, il était également curieux d'en apprendre plus sur la réaction des survivants après un tel massacre. Au fil des pages, un nouvel équilibre s'installe au sein de la communauté, permettant à l'auteur de développer de nouvelles relations entre les personnages secondaires et d'intégrer quelques histoires d'amour à son récit. Si Kirkman joue à nouveau à merveille avec la psychologie de plus en plus complexe des différents personnages, il donne également une nouvelle orientation à la lutte des survivants. En leur octroyant une vision à plus long terme, sous la devise de « l'union fait la force », il tente non seulement de s'éloigner de ce mode de vie qui consistait de survivre au quotidien, mais démontre surtout que la base de notre civilisation est la communauté. L'invention la plus importante de l'homme ne serait donc pas le feu ou la roue, mais bel et bien ce goal commun qui nous permet d'avancer tous ensemble.

Si cette nouvelle approche fait renaître l'espoir de pouvoir enfin relancer l'humanité, Kirkman n'oublie évidemment pas d'entretenir une tension très palpable au sein de la communauté. Car même si la menace zombie est aux abonnés absents dans ce tome, la rivalité entre les différents membres de la communauté est toujours présente, déplaçant une nouvelle fois la menace de l'extérieur à l'intérieur des murs. L'union ne fait donc pas seulement la force, elle s'avère également très fragile…

Bref, après 90 épisodes, force est de constater que l'on ne se lasse nullement du scénario proposé par Robert Kirkman, ni du dessin en noir et blanc de Charlie Adlard. Vivement la suite donc !

Retrouvez ce comics dans MON TOP 2012 !
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Après avoir affronté et survécue à la menace zombie, le groupe de survivants doit se reconstruire un havre de paix. Mais la psychologie humaine est ce qu'elle ait, les vivants sont parfois plus dangereux que les morts à cause de leurs peurs...
Encore une fois, la paix est précaire et les corps craquent sous la pression...
On ne se lasse pas de suivre cette survie au long court où chaque personnage peut mourir à tout moment, aucun n'a de pass « héros, impossible qu'il meurt », à part Rick (et encore !) ; c'est clairement la force de ce Comics, aucun personnage n'est à l'abri d'une mort soudaine ou d'un pétage de plomb ou... de ce qu'il se passe en fin d'album...