>
Critique de Nena83b
Eh bien, eh bien. C'était fascinant ! J'adore les bouquins plein d'humour, vraiment. J'adore les licornes aussi. Et la fantasy. Et les quêtes désespérées. Et les amours impossibles (qui le deviennent). Ce bouquin avait absolument tout pour me séduire mais BORDEL DE MERDE que c'était nul. J'ai laissé une demi-étoile parce que j'ai le vague souvenir d'avoir ri à une blague.
Ca faisait longtemps que je n'étais pas tombée sur un bouquin aussi affligeant. Pourtant, y a de bonnes idées. Mais tous les personnages sont insupportables. TOUS. C'est 600 pages de dialogues (mal construits) qui parlent de cul. 600 pages d'ennui et de vide sidéral. C'est limite honteux, j'ai vraiment eu l'impression d'être prise pour une débile.
Et je vais encore faire ma vieille conne aigrie mais putain la traduction !!!! Encore un bouquin de chez MxM qui est traduit avec le gros orteil droit à l'ongle incarné. Je veux bien que l'auteur ait un langage ultra moderne dans un univers medieval fantasy (pourquoi pas, ça colle bien quand c'est de l'humour ou de la parodie (Monty Python pour ne citer qu'eux), mais là c'était trop. Vraiment trop. Et c'est traduit limite mot pour mot, j'avais l'impression de deviner les phrases en anglais à toutes les lignes. C'est pénible et ça casse le rythme de lecture en plus d'être super moche.
C'est tellement mauvais que même dans les rares moments sérieux, rien n'est crédible. Sincèrement, je comprends pas comment ce bouquin peut faire presque l'unanimité et pourtant dieu sait toute la merde mainstream que je gobe avec plaisir tous les jours. Ca m'a limite foutue en colère. J'ai jamais eu autant envie de faire bouffer des cactus par les trous de nez (pour rester polie) à Sam, le personnage principal, et surtout à sa putain de licorne à la con qui m'a fait chavirer du côté obscur de la force et qui m'a donné l'intense désir d'exterminer des créatures imaginaires de la plus sale des façons pour ruiner des millions d'enfance à travers le monde.
(Mention honorable à Tiggy, le seul personnage que j'ai aimé. Peu éloquent mais terriblement attachant !)
J'avais déjà lu du TJ Klune, c'était pas incroyable mais ça passait. Mais là, plus jamais. Mon dernier traumatisme remonte à 50 nuances de Grey, j'aurais aimé qu'il reste en 2011. Au secours.
Ca faisait longtemps que je n'étais pas tombée sur un bouquin aussi affligeant. Pourtant, y a de bonnes idées. Mais tous les personnages sont insupportables. TOUS. C'est 600 pages de dialogues (mal construits) qui parlent de cul. 600 pages d'ennui et de vide sidéral. C'est limite honteux, j'ai vraiment eu l'impression d'être prise pour une débile.
Et je vais encore faire ma vieille conne aigrie mais putain la traduction !!!! Encore un bouquin de chez MxM qui est traduit avec le gros orteil droit à l'ongle incarné. Je veux bien que l'auteur ait un langage ultra moderne dans un univers medieval fantasy (pourquoi pas, ça colle bien quand c'est de l'humour ou de la parodie (Monty Python pour ne citer qu'eux), mais là c'était trop. Vraiment trop. Et c'est traduit limite mot pour mot, j'avais l'impression de deviner les phrases en anglais à toutes les lignes. C'est pénible et ça casse le rythme de lecture en plus d'être super moche.
C'est tellement mauvais que même dans les rares moments sérieux, rien n'est crédible. Sincèrement, je comprends pas comment ce bouquin peut faire presque l'unanimité et pourtant dieu sait toute la merde mainstream que je gobe avec plaisir tous les jours. Ca m'a limite foutue en colère. J'ai jamais eu autant envie de faire bouffer des cactus par les trous de nez (pour rester polie) à Sam, le personnage principal, et surtout à sa putain de licorne à la con qui m'a fait chavirer du côté obscur de la force et qui m'a donné l'intense désir d'exterminer des créatures imaginaires de la plus sale des façons pour ruiner des millions d'enfance à travers le monde.
(Mention honorable à Tiggy, le seul personnage que j'ai aimé. Peu éloquent mais terriblement attachant !)
J'avais déjà lu du TJ Klune, c'était pas incroyable mais ça passait. Mais là, plus jamais. Mon dernier traumatisme remonte à 50 nuances de Grey, j'aurais aimé qu'il reste en 2011. Au secours.
