La Maison jaune est aussi le titre d'une toile de Vincent va Goth, mais la s'arrête la comparaison, car
La Maison Jaune de
JR Kobencröft est beaucoup plus dérangeante qu'un simple tableau. Ici, c'est l'histoire de François, un enfant maltraité par sa mère qui le rend malade et l'amène a l'hôpital pour le faire soigner, jusqu'au jour où après un accident, François est enlevé à sa mère, elle souffre du syndrome de Munchausen.
François découvre à l'école la physique et devient sa passion. À partir de ce moment, l'histoire perd son sens, l'auteur en profite pour nous parler de physique quantique comme pour justifier la quête de François à laquelle je ne crois pas. Oui, c'est un roman présenté comme une histoire d'horreur, mais a ce compte-là, j'ai mieux aimé son précédent roman
le Cahier Bleu que j'ai perçu comme un bad trip d'acide. Reste que
La Maison Jaune vaut quand même la peine d'être lu.
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