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Critique de chroniqueslivresques
Un coup de poing dans le ventre.
Je n'ai pas les mots.
FIN DE LA CHRONIQUE.
Ah si, j'en ai quelques-uns finalement :
"Le nageur dans la mer secrète" est un livre que j'ai sélectionné pour m'accompagner durant mes voyages dans les transports en communs, pour ces 100 pages très aérées (merci aux éditions Actes Sud), et parce que je ne savais pas du tout de quoi parlait cette nouvelle. Eh bien je peux dire merci à la RATP d'avoir instauré les strapontins, car j'ai été obligé de poser mon gracieux derrière dessus lorsque ce livre m'a attrapé et foutu son plus gros punch dans le bide.
L'histoire est très simple à résumer : on y suit un couple qui s'apprête à avoir leur premier enfant...et ça ne se passe pas bien.
Là où William Kotzwinkle fait fort avec cette intrigue un petit peu déjà-vu, c'est qu'il décrit tout cela sans que l'on sente, en tant que lecteur, qu'il en fait trop. Chaque mot, chaque réaction, chaque sentiment est juste. Et c'est ce qui prend aux tripes.
Il suffisait juste que l'auteur ajoute de la poésie à tout cela et accorde une place importante à la nature pour qu'on soit sur un coup de coeur, ce qui est le cas. J'aurais sans doute lâché plusieurs larmes si j'avais été seul lors de ma lecture (je le répète : heureusement que les strapontins existent).
Je ne pense pas qu'il faille être sensible au thème de la paternité et de la maternité pour pleinement apprécier cette nouvelle et, franchement, c'est trop beau pour passer à côté. Mais ce n'est pas si facile que ça à lire d'un point de vue émotionnel, jusqu'à la fin :,(
Ai-je besoin de vous dire de vous précipiter sur cette pépite oubliée ? Allez encore une fois si vous ne l'avez pas compris. Ai-je maintenant envie de découvrir l'intégralité de la bibliographie de William Kotzwinkle ? BIEN ÉVIDEMMENT.
Quelle surprise wow.
Je n'ai pas les mots.
FIN DE LA CHRONIQUE.
Ah si, j'en ai quelques-uns finalement :
"Le nageur dans la mer secrète" est un livre que j'ai sélectionné pour m'accompagner durant mes voyages dans les transports en communs, pour ces 100 pages très aérées (merci aux éditions Actes Sud), et parce que je ne savais pas du tout de quoi parlait cette nouvelle. Eh bien je peux dire merci à la RATP d'avoir instauré les strapontins, car j'ai été obligé de poser mon gracieux derrière dessus lorsque ce livre m'a attrapé et foutu son plus gros punch dans le bide.
L'histoire est très simple à résumer : on y suit un couple qui s'apprête à avoir leur premier enfant...et ça ne se passe pas bien.
Là où William Kotzwinkle fait fort avec cette intrigue un petit peu déjà-vu, c'est qu'il décrit tout cela sans que l'on sente, en tant que lecteur, qu'il en fait trop. Chaque mot, chaque réaction, chaque sentiment est juste. Et c'est ce qui prend aux tripes.
Il suffisait juste que l'auteur ajoute de la poésie à tout cela et accorde une place importante à la nature pour qu'on soit sur un coup de coeur, ce qui est le cas. J'aurais sans doute lâché plusieurs larmes si j'avais été seul lors de ma lecture (je le répète : heureusement que les strapontins existent).
Je ne pense pas qu'il faille être sensible au thème de la paternité et de la maternité pour pleinement apprécier cette nouvelle et, franchement, c'est trop beau pour passer à côté. Mais ce n'est pas si facile que ça à lire d'un point de vue émotionnel, jusqu'à la fin :,(
Ai-je besoin de vous dire de vous précipiter sur cette pépite oubliée ? Allez encore une fois si vous ne l'avez pas compris. Ai-je maintenant envie de découvrir l'intégralité de la bibliographie de William Kotzwinkle ? BIEN ÉVIDEMMENT.
Quelle surprise wow.
